La conférence scientifique annuelle de la Faculté des études supérieures africaines de l’Université du Caire, intitulée « Investir en Afrique : opportunités entrepreneuriales et défis de la concurrence régionale et internationale », a débuté ce dimanche matin dans la Grande Salle de Conférence de la faculté, coïncidant avec les célébrations de la Journée de l’Afrique. La conférence s’est tenue sous le patronage du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Dr. Mohamed Ayman Ashour, du président de l’Université du Caire, le professeur Dr. Mohamed Sami Abdel Sadek, et du Dr. Osama El Gohary, assistant du Premier ministre et directeur du Centre d’information et d’aide à la décision.
Elle a été présidée par le doyen de la Faculté des études supérieures africaines, le professeur Dr. Attia El-Tantawy, et supervisée par le chef du département de politique et d’économie, le professeur Dr. Sally Farid, et le professeur Dr. El-Sayed Felefel, en tant que rapporteurs scientifiques de la conférence. Plus de 150 experts, universitaires et diplomates d’Égypte et de 17 pays africains et arabes participent à la conférence, qui comprendra des sessions en personne et en ligne. Les sessions porteront sur des thèmes stratégiques liés à l’attraction des investissements étrangers, à la stimulation de l’innovation, à l’élargissement du champ d’action de l’entrepreneuriat vert, à la résolution des défis de financement et à l’évaluation de l’impact du changement climatique et des conflits régionaux sur le climat d’investissement.
Le magazine African Readings a participé à la conférence avec un article intitulé « Le rôle de l’entrepreneuriat dans la réduction du chômage en Afrique », rédigé par le Dr Magdy Adam, chercheur au Centre de recherche subsaharienne, qui publie le magazine African Readings. La conférence comprend également des sessions parallèles abordant des sujets critiques tels que les perspectives des énergies renouvelables en Afrique, le rôle des chaînes de valeur agricoles dans la stimulation du développement, l’impact des politiques internationales sur la stabilité économique du continent, les expériences d’entrepreneuriat des femmes, l’investissement dans l’intelligence artificielle et les infrastructures, et la concurrence internationale dans des régions vitales telles que la mer Rouge et la Corne de l’Afrique.
