En Algérie, des enquêtes judiciaires dans un dossier pénal concernant des faits de falsification de documents administratifs, notamment des bulletins de notes d’élèves en échec scolaire pour l’année 2024-2025, âgées de moins de 13 ans, ont révélé un vaste scandale sexuel qui a secoué l’opinion publique algérienne…
Des détails choquants ont été discutés par le tribunal correctionnel de Dar El Beïda à Alger, dans le cadre de la poursuite d’un accusé non détenu, nommé « A.M », propriétaire d’un kiosque situé près d’un collège dans la capitale. Ce dernier avait transformé son commerce en un petit atelier au service d’élèves, garçons et filles, ayant échoué à leurs études pour les protéger des punitions de leurs parents. Selon l’expertise technique du laboratoire Bouchaoui à Châteauneuf, l’accusé a falsifié les bulletins de notes d’élèves mineures, scolarisées en troisième et quatrième année de collège, en échange de relations sexuelles et d’argent.
Il a exploité le bulletin d’un élève ayant réussi, nommé « J.O », étudiant dans le même établissement, en modifiant légèrement la moyenne en bas des deux documents, la faisant passer de 8,52 à 11,52. Le nombre de ses victimes dépasse les 100 élèves, garçons et filles, avec lesquels il a eu des relations sexuelles et qu’il a filmés. Cependant, la grossesse de l’une des élèves a fait éclater le scandale du « sexe contre des notes » pour les élèves en échec en Algérie. L’hôpital Mustapha Pacha, dans la capitale, a vécu, il y a quelques semaines, un choc intense après la découverte d’une fillette de 12 ans enceinte lors d’un examen médical.
La découverte a eu lieu après que la mère de l’enfant l’a amenée à l’hôpital pour un examen médical en raison de douleurs abdominales, les examens ont révélé qu’elle était sur le point de devenir mère. Des sources locales ont indiqué que cette situation a stupéfié le personnel médical de l’hôpital Mustapha Pacha, surtout après le diagnostic confirmant la grossesse de la fillette, qui n’avait pas encore 12 ans. Une infirmière de l’hôpital a révélé que la grossesse était à son quatrième mois, et qu’il ne restait plus que la moitié du temps avant l’accouchement. Les sources ont ajouté que les forces de sécurité se sont rendues à l’hôpital pour ouvrir une enquête afin d’identifier la personne responsable de la grossesse de la fillette.
Des informations ont circulé accusant le propriétaire du kiosque situé en face de son école, ce qui a conduit à son arrestation immédiate. Cela a suscité des soupçons parmi les familles algériennes concernant tous les enfants ayant étudié dans cet établissement depuis 2010, année d’ouverture du kiosque en face de l’école.
