En Algérie, il y a un problème de désaffection des jeunes envers le mariage et d’engouement des jeunes filles pour les hommes du monde entier, qu’ils soient arabes, européens, africains ou asiatiques. Est-ce un phénomène nouveau ou un héritage culturel algérien laissé par les ancêtres aux enfants et petits-enfants ? Car on sait de nous, Algériens, que nous sommes un peuple de la soumission par excellence et un peuple avec lequel on ne cohabite pas et on ne fait pas confiance. Les citoyens les plus criminels, traîtres et coupeurs de routes sont les Algériens.
Il suffit d’entendre parler d’un crime commis dans un coin du monde pour savoir que les exécutants sont des criminels masqués d’origine algérienne et d’ascendance. Même le vol récent au musée du Louvre à Paris a été planifié et exécuté par des Algériens. C’est pourquoi le crime, le coupe-gorge et la coupe des vivres sont devenus une marque algérienne pure, sur laquelle personne ne nous concurrence. Il n’est même pas exclu qu’ils soient inscrits à l’UNESCO comme un patrimoine culturel algérien pur…
Tout visiteur qui vient dans notre pays maudit y vit gratuitement : il choisit le genre qui lui plaît, soit les prostituées et les putes qui prennent en charge son hébergement, son coucher et sa nourriture en échange de sexe et du sentiment de virilité perdu chez nous en Algérie, soit les homosexuels et les gays qui forment la moitié de la société déchirée, tout celui qui vient chez nous, qu’il vienne en visiteur comme le Golfe, le Syrien, l’Égyptien, le Français ou le Russe, ou qu’il vienne pour travailler comme le Chinois ou l’Africain, trouve son bonheur en Algérie : le sexe gratuit et de toutes les sortes, des enfants aux vieillards, en passant par les veuves et les eunuques.
Il y en a même qui offrent l’hébergement et leur corps contre de l’argent, où c’est elles qui fournissent l’argent et le logement à celui qui vient visiter notre pays. La meilleure preuve en est les ventres gonflés des mères célibataires et des mineures qui n’ont pas plus de dix-sept ans, et le plus souvent l’auteur est le mâle syrien, africain ou golfe. Si le gang du mal ouvrait ses bras au tourisme, aux visiteurs et aux étrangers, notre population aujourd’hui dépasserait celle de l’Égypte, de la Chine et de l’Inde, et nous deviendrions le bordel du monde où l’on trouve ce qu’on cherche, comme nous l’étions auparavant, une destination pour les pirates et les envahisseurs colonisateurs…