FMO a annoncé un partenariat stratégique avec The African Angel Academy (AAA) et DGGF (Dutch Good Growth Fund), une initiative d’investissement du ministère néerlandais des Affaires étrangères. En tant que sponsors, la FMO et la DGGF uniront leurs forces pour renforcer la capacité des investisseurs en phase de démarrage dans 5 écosystèmes de startups africains en pleine croissance grâce à la 8e cohorte du programme AAA.
Lancé en 2021, AAA et DGGF se sont lancés dans un projet de trois ans pour étendre et accélérer les réseaux d’investissement providentiel dans les pays africains, sélectionnés en fonction de leurs services de soutien existants, de leur pipeline de startups et de leur potentiel de croissance, cet investissement catalytique de la DGGF a permis à l’African Angel Academy de se développer de manière significative, d’attirer de nouveaux partenaires et de construire une durabilité à long terme, l’inclusion de la FMO en tant que partenaire et sponsor du programme ajoute un nouvel élan à cette initiative, élargissant sa portée à deux pays supplémentaires en 2023, Alina Vinogradova, Program Manager SCBD / Dutch Good Growth Fund : »Chez DGGF, nous avons observé une croissance phénoménale du nombre de réseaux d’anges à travers le continent africain, mais il y a du travail à faire pour aider ces réseaux à se professionnaliser et à développer le capacité des membres individuels. C’est là qu’intervient le programme AAA, avec une opportunité de suivi pour ces réseaux d’intégrer le portefeuille de SCBD ».
Cet effort conjoint offrira des opportunités complètes de formation et de réseautage à 100 investisseurs providentiels émergents du Ghana, du Rwanda, de l’Ouganda, de la Tanzanie et de la Zambie de juillet à octobre 2023. Les candidatures pour le programme sont actuellement ouvertes et les dirigeants de l’écosystème sont encouragés à partager avec les individus et les réseaux concernés. . AAA sélectionnera les participants en fonction de leur expérience antérieure en matière d’investissement et de leur expérience professionnelle (10 ans et plus minimum), en s’efforçant d’obtenir une participation de 50 % de femmes investisseurs.
