L’homme kabyle vit dans une situation catastrophique, puisqu’il souffre en permanence de toutes les formes d’aliénation intellectuelle et identitaire et surtout de la tyrannie du régime des généraux, compte tenu de la tendance arabe persistante en Algérie à cibler l’homme kabyle dans toutes les dimensions et par divers moyens, car on assiste toujours à un siège militaire, idéologique et sécuritaire de tout ce qui est kabyle en Algérie.
En Algérie, l’homme kabyle vit toujours dans une situation où les conditions de dignité et de liberté ne sont pas disponibles, puisque l’Etat algérien, le fils légitime du colonialisme français, continue toujours de cibler les Kabyles à presque tout les niveaux.
En effet, après son approche de la politique d’extermination par les incendies et divers types d’armes prohibées, le régime militaire en Algérie poursuit sa nouvelle/ancienne politique en traitant le dossier des prisonniers politiques pour la question kabyle avec des procès inéquitables prononcé contre les détenus du mouvement culturel kabyle, où des jugements injustes ont été prononcés à leur encontre malgré l’innocence des détenus de ce qui leur était attribuée et ceux qui ont été libérés.
En plus de la tentative des services de sécurité d’enterrer les voix libres avec des procès falsifiés contre les détenus des soulèvements kabyles au même moment que le monde commémore le 77ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme et les faux slogans des institutions algériennes comme la transition démocratique et la réforme judiciaire, et peut-être que les manifestations les plus marquantes de ces contradictions la poursuite de la politique générale du régime des généraux en Algérie de famine et d’exclusion systématique et l’approche de la politique des oreilles sourdes aux revendications légitimes des Kabyles, qui est un État libre et indépendant.
