Dans notre pays, où que l’on tourne le regard, on trouve des files d’attente, grâce à la politique de la marionnette des généraux, le président Tebboune, qui gaspille nos richesses pour soutenir ce qu’il appelle les peuples opprimés dans le monde, en tête desquels le peuple sahraoui, ainsi que d’autres peuples pauvres des pays africains. Le clown Tebboune a déclaré aux agences de presse et aux chaînes de propagande que l’Algérie joue un rôle actif dans l’alimentation des peuples qui souffrent encore de la pauvreté, de la famine et des épidémies, dont les richesses et les ressources sont exploitées par les pays occidentaux. Il a ajouté que l’Algérie ne faisait que son devoir…
Ici, le président Tebboune ressemble à un père qui dépense pour les enfants de son voisin, leur offrant nourriture, eau, vêtements, protection, et même argent, tout en laissant ses propres enfants et sa famille exposés à la faim, à la pauvreté, à la prostitution, aux épidémies et à la misère. Oui, c’est l’exemple parfait, et la plus grande preuve en est que la majorité du peuple algérien ne trouve pas assez de nourriture pour apaiser sa faim ou nourrir ses enfants. Même l’eau est inexistante chez nous : les citoyens n’ont ni de quoi boire, ni de quoi se laver de leur saleté. Chaque jour, un Algérien meurt dans la guerre des files d’attente, pendant ce temps, les fils du Front Polisario profitent de nos richesses et de nos ressources dans les pays les plus luxueux d’Europe, dégustant les plats les plus savoureux, buvant l’eau la plus pure, portant les dernières marques mondiales, et conduisant les voitures les plus prestigieuses.
Quant au peuple algérien, il est plongé dans la faim, les poux, les maladies, la saleté, la dépendance aux drogues, la prostitution et la déviance sexuelle, au point qu’avec un simple tacos bon marché, on peut abuser de l’honneur des femmes et des hommes, et porter atteinte à leur dignité comme bon vous semble. C’est notre réalité, que nous le voulions ou non, car le régime des généraux se préoccupe des peuples du monde entier, mais ignore les gémissements et les souffrances des Algériens.
