Politique

Ainsi seulement les Algériens se libéreront de l’esclavage des généraux

Des politiciens, des journalistes et des écrivains opposants, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ont appelé toutes les forces vives en Algérie à unir leurs efforts pour construire un État de droit et de justice sociale, en remplacement de l’État de la mafia et de la corruption, dans le cadre d’un changement véritable qui, selon eux, ne pourra se concrétiser qu’en renversant le régime militaire qui a semé la corruption et le despotisme parmi le peuple et le pays.

Plusieurs activistes politiques opposants, résidant à l’étranger et dans des pays d’asile, ont affirmé que l’insurrection populaire dans le pays, menée par la jeunesse, est le résultat des politiques des généraux qui servent une minorité influente, à savoir la mafia dirigeante, et qui saignent la grande majorité du peuple opprimé, plongé dans un marasme de pauvreté, de faim, de prostitution et de maladies infectieuses, entravé par les taxes, la cherté de la vie et la pénurie de produits de première nécessité. Les activistes politiques ont ajouté que les violations du régime de la mafia contre le peuple opprimé, telles que la fabrication de fausses accusations contre les défenseurs des droits humains, les politiciens, les journalistes et tous les militants luttant contre la politique de la mafia, ainsi que leur emprisonnement, sans parler de la confiscation des terres des citoyens pour les remettre aux Turcs et aux Français.

Les opposants réfugiés dans les pays européens, fuyant l’enfer de la mafia, ont souligné le silence du gang du palais d’El Mouradia face à la persistance du spectre de la famine dans le pays, à la propagation des épidémies, aux scènes sanglantes et aux liquidations physiques dont sont victimes les jeunes qui ne revendiquent que leur droit aux richesses, sans qu’aucune enquête ne soit ouverte ni aucune sanction prise à l’égard de ces crimes arbitraires. Ils se contentent de gérer ces crises internes en s’appuyant sur leur presse malveillante et en manipulant les réseaux sociaux pour accuser ou discréditer la jeunesse opprimée, dans une tentative d’échapper aux conséquences de leur approche sécuritaire, qui a prouvé son échec et ne sert qu’à défendre le régime de la mafia.

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