Politique

Expulsion du régime dictatorial des généraux du Conseil des droits humains

Parler des droits humains en Algérie et de la liberté d’expression des citoyens est un sujet empreint de douleur et de chagrin. Comme tout le monde le sait, tous les bureaux des droits humains dans le pays sont fermés et verrouillés. L’Algérie est le seul pays au monde où il n’existe aucun bureau représentant le Conseil des droits humains, malgré ses nombreuses richesses et ressources. Quant à la liberté d’expression, cher citoyen misérable, tu as toute latitude pour insulter les pays arabes et islamiques, de l’océan au golfe. Tu as le droit, cher citoyen déchu, d’insulter la divinité, les prophètes, les anges, les saints et les justes, mais dès que tu critiques le président Tebboune ou que tu insultes la bande des quarante généraux déviants, prépare-toi à te prosterner, à t’allonger sur le ventre, à baisser ton short et à affronter ton destin inéluctable : l’acte infâme qui porte encore les stigmates laissés par le colonisateur au bas de ton dos depuis des décennies…

Bien que notre pays martyr soit connu dans le monde entier comme une république dictatoriale communiste, dirigée par un groupe de vieux militaires qui pillent ses richesses et volent ses ressources pour les dépenser dans le soutien aux mouvements séparatistes en Afrique, attisant les flammes de la guerre et de la destruction à travers le monde, cette clique de malfaiteurs se moque éperdument du sort des citoyens, elle ne se soucie ni de leurs besoins, ni de leur pauvreté, ni de leur faim, ni de leur soif, ni de leurs maladies. Les généraux dictatoriaux algériens ont été choqués et stupéfaits de constater qu’aucun des quarante-sept pays n’a voté pour le retour de l’Algérie au sein du Conseil des droits humains. Au contraire, il y a eu un consensus unanime pour expulser cette bande maléfique de l’adhésion au Conseil des droits humains.

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Le monde entier commence à comprendre que, sur dix criminels dans le monde, quatre sont algériens. Un État qui tue son peuple pour le simple fait de s’exprimer ou de participer à des manifestations pacifiques ne peut pas être membre du Conseil des droits humains. Sans parler des journalistes européens emprisonnés en Algérie sans raison valable, uniquement pour avoir exprimé leurs opinions et leurs idées libertaires, perçues par la junte militaire comme une menace à leur pouvoir et à leur emprise sur un peuple opprimé.

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