Economie

Accusations de mensonge… Députés égyptiens et professionnels des médias en colère contre les nouvelles taxes

Accusations de mensonge… Députés égyptiens et professionnels des médias en colère contre les nouvelles taxes

« La crise n’est pas dans la loi, mais dans le mensonge », c’est ainsi qu’un fidèle parlementaire a accusé le gouvernement égyptien lors d’une séance pour discuter d’un projet de loi modifiant certaines dispositions de la loi sur la taxe sur la valeur ajoutée promulguée par la loi n°67 de 2016, en référence à ses refus répétés de ne pas imposer de nouvelles taxes et charges financières aux citoyens, bien que la loi ait finalement été adoptée, comme il est d’usage – la Chambre des représentants ayant approuvé tous les amendements du gouvernement mardi dernier – la session a été le théâtre de discussions animées qui se sont répercutées sur les médias et les réseaux sociaux, à la lumière des nombreux Égyptiens touchés par les répercussions du Corona. pandémie, qui leur a coûté cher.

Un certain nombre de députés de l’opposition et de personnes affiliées au gouvernement ont attaqué sa politique continue d’imposition de nouvelles taxes aux citoyens sans plafond. Le représentant Abdel Moneim Imam s’est adressé au ministre des Finances : « J’ai lu vos déclarations sur le soutien des citoyens, mais le commentaire le plus sévère a été fait par le représentant Mahmoud Badr, fidèle à l’autorité, l’accusant de mentir, déclarant : « Au moment où la Médiathèque du Conseil des ministres a annoncé il y a 10 jours, sur les propos du ministre des Finances, qu’il n’y a pas de nouvelles charges fiscales pour le citoyen, nous sommes surpris par une loi qui se prépare (qui se prépare. à la hâte) et nous l’acceptons et l’imposons au peuple avec une nouvelle augmentation d’impôt. Soit le Cabinet et sa médiathèque mentent aux Égyptiens, soit ce sont les finances qui mentent.

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Il a poursuivi : « Je rejette la loi parce qu’elle n’a aucun sens politique ou humanitaire au ministère lorsqu’elle impose de nouvelles charges fiscales à la lumière de la crise de l’inflation et de la hausse des prix. Les gens ne savent pas où les trouver (ils font face prix de n’importe quelle direction), des factures de gaz, d’électricité, ou de qui. L’augmentation des prix des biens de consommation, qui ont augmenté dans la période récente, est en fait une logique inacceptable.

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