L’Autorité des communications du Kenya, en Californie, a récemment décidé de réduire le MTR et le FTR du taux actuel de 0,99 Kshs par minute à 0,12 Kshs par minute dans l’exercice de son mandat statutaire, en vertu de la Loi sur les communications du Kenya, le MTR de 0,99 Kshs par minute est appliqué depuis environ sept ans alors qu’il n’était censé s’appliquer que pour un an. La réduction du MTR par l’AC tient compte du délai de sept ans et est pleinement alignée sur les intérêts du consommateur.
L’interconnexion permet aux clients de s’appeler de manière transparente sur les réseaux. Sans interconnexion, les utilisateurs seraient obligés d’obtenir des numéros mobiles ou fixes d’un seul réseau. Lorsque les tarifs de terminaison mobile restent élevés comme ils l’ont été au Kenya, les consommateurs devraient payer plus pour les appels vocaux et auraient moins de liberté de choix, Airtel félicite l’AC pour cette décision opportune sur le MTR et le FTR et soutient la directive, qui profitera grandement au consommateur kenyan, lui permettant d’appeler plus facilement sur les réseaux et sans se soucier du montant qu’il dépensera étant donné le rôle vital de la communication. , en particulier dans les temps économiques difficiles actuels occasionnés par la pandémie. Les clients bénéficieront également de meilleurs services, car les opérateurs de télécommunications auront désormais plus d’argent à investir dans leur infrastructure et leurs réseaux, au lieu d’utiliser le même argent pour payer des frais d’interconnexion élevés.
Cette réduction augmentera également la pénétration de la téléphonie mobile au Kenya et améliorera l’accès aux services vocaux et de données pour soutenir la stratégie du gouvernement en matière de large bande et mieux positionner le Kenya en tant que plaque tournante régionale des TIC. Nous pensons que toute tentative de retarder ou de saborder la mise en œuvre du MTR privera les consommateurs des avantages de tarifs d’appel plus abordables, cet avantage pour les besoins des consommateurs doit être protégé étant donné que les tarifs de terminaison mobile élevés ne sont pas censés être une source de revenus pour les fournisseurs de services vocaux mobiles ou fixes, mais un catalyseur pour des appels transparents qui améliorent l’accès des consommateurs à la communication.