Economie

Le Cape vert dépose l’instrument de ratification de la zone de libre-échange continentale africaine

Le Cape vert dépose l'instrument de ratification de la zone de libre-échange continentale africaine

La République de Cabo Verde est devenue le quarante et unième (41e) État partie à déposer l’instrument de ratification de l’Accord instituant la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA), à ce jour, l’accord établissant la ZLECAf a été signé par 54 États membres de l’UA. Quarante et un (41) États membres de l’Union africaine sont également États parties à l’Accord en vertu de leurs dépôts des instruments de ratification de l’Accord, démontrant une volonté politique sans équivoque de réaliser l’intégration des marchés en Afrique.

Conformément à l’article 13 de l’accord établissant l’accord instituant la zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA), l’Assemblée a établi le secrétariat de l’AfCFTA. Le siège du secrétariat de l’AfCFTA est le Ghana, Accra, dans le cadre de l’AfCFTA, les pays africains se sont collectivement engagés à libéraliser considérablement tous les échanges en éliminant les droits de douane sur 97 % des lignes tarifaires – sur une période de 13 ans à compter du début de la mise en œuvre. Jusqu’à présent, le Secrétariat de l’AfCFTA 44 pays représentant 80% des membres de l’Union africaine ont soumis leurs offres tarifaires, l’Algérie étant le dernier en date, en ce qui concerne le commerce des services, à ce jour, le Secrétariat a reçu 46 offres initiales soumises par des États parties et des États non parties, couvrant les cinq secteurs prioritaires, à savoir : les secteurs des services aux entreprises, de la communication, des services financiers, du tourisme et des transports. En ce qui concerne le commerce des services, des progrès ont été accomplis dans la mise en œuvre des objectifs du Protocole sur le commerce des services, à ce jour, le secrétariat de l’AfCFTA a reçu 46 offres initiales soumises par des États et des non-États parties, couvrant les cinq secteurs prioritaires, à savoir : les secteurs des services aux entreprises, de la communication, de la finance, du tourisme et des transports. Certains États parties et non États, à savoir les membres de la CEMAC, de l’EAC et de la CEDEAO, ont tous présenté des offres consolidées dans le cadre de ce processus.

  L’AfCFTA lance le rapport d'impact de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf)

 

 

 

 

 

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