Economie

La BAD veut renforcer les capacités de bourses et de recherche dans les pays africains

La BAD veut renforcer les capacités de bourses et de recherche dans les pays africains

Grâce au financement du guichet Biens publics régionaux du Fonds africain de développement (FAD), un programme de formation et de renforcement des capacités de recherche a octroyé 90 bourses de maîtrise et cinq bourses de doctorat pour renforcer les capacités de formulation de politiques de croissance inclusive et verte en Afrique.

Le projet de renforcement des capacités de recherche et des connaissances pour la transformation de l’Afrique mis en œuvre par le Consortium de recherche économique en Afrique (AERC), a reçu une subvention d’environ 6,8 millions de dollars.

Une centaine de personnes ont bénéficié du programme de formation universitaire mis en œuvre entre 2016 et 2019, selon un rapport de la Banque publié le 9 octobre 2020. Parmi les bénéficiaires figuraient des étudiants de troisième cycle, des chercheurs, des établissements d’enseignement supérieur, des décideurs et des organisations non gouvernementales du secteur privé et société civile. Les bénéficiaires du projet couvraient 20 pays africains: Burundi, Burkina Faso, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Érythrée, Gambie, Guinée-Bissau, Lesotho, Libéria, Madagascar, Mali, Nigéria, Niger, Sierra Leone, Soudan du Sud, Somalie et Togo.

Un programme de transition intensif de 8 semaines a permis à 26 étudiants d’être admis pour poursuivre leurs études de troisième cycle en économie et économie agricole. Les pays sous-représentés étaient le Burkina Faso, le Burundi, le Libéria, le Mozambique, la Somalie et le Soudan du Sud.

Si le projet a permis la formation des diplômés dans des domaines liés à la croissance inclusive et verte, un énorme travail a également été consacré à l’amélioration de la qualité de la recherche et de la capacité de dialogue politique sur le continent. Il a également fourni une plate-forme d’échange d’idées entre les décideurs politiques, facilitant la coopération Sud-Sud et permettant aux décideurs d’apprendre les uns des autres.

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