Economie

Le Mozambique rejoint l’initiative collaborative de collecte de données sur les TIC développée par la BAD

Le Mozambique rejoint l'initiative collaborative de collecte de données sur les TIC développée par la BAD

La Banque africaine de développement a étendu l’adhésion au Mozambique à un système de supervision des données numériques connu sous le nom de projet de supervision, de suivi et d’évaluation à distance (RASME), ce qui en fait le sixième pays africain à bénéficier de l’outil qui améliore la collecte de données liées au projet dans les régions éloignées, RASME est un partenariat entre la Banque africaine de développement et l’initiative Geo-Enabling de la Banque mondiale pour le suivi et la supervision et les équipes KoBoToolbox. La suite d’outils de collecte de données numériques utilisée pour le projet RASME est basée sur la plate-forme KoBoToolbox, une solution TIC open source développée par des chercheurs affiliés à la Harvard Humanitarian Initiative.

L’initiative utilise des appareils mobiles et des ordinateurs personnels pour permettre au personnel de la Banque de collecter à distance des données numériques sur les projets directement sur le terrain en temps réel. L’apparition de la crise du Covid-19 a renforcé le besoin d’outils de collecte de données à distance, la vice-ministre mozambicaine de l’économie et des finances, Carla Alexandra Louveira, et la responsable pays de la Banque africaine de développement. Cesar Mba Abogo a officiellement lancé l’initiative, selon le vice-ministre Louveira, « l’opérationnalisation du RASME renforcera la capacité de surveillance et de suivi de la mise en œuvre du projet et soutiendra un processus de prise de décision plus efficace ».

RASME, basé sur la plate-forme open-source KoBoToolbox développée par des chercheurs affiliés à la Harvard Humanitarian Initiative, est conçu pour une utilisation en ligne ou hors ligne dans des zones reculées avec une infrastructure de télécommunications limitée. Le projet renforcera la collecte de données dans des zones souvent inaccessibles ou éloignées, y compris celles qui connaissent des problèmes de sécurité et de logistique, afin de renforcer le suivi et l’évaluation des projets de développement de la Banque. Toutes les données sont stockées sur des serveurs sécurisés.

  Airtel Africa inaugure son premier centre de données de 38 MW au Nigéria
Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top