Le périodique américain Business Intelligence, spécialisé dans les affaires économiques et commerciales, a déclaré que l’administration du président américain Joe Biden s’orientera vers le renforcement de sa coopération commerciale et d’investissement avec les pays d’Afrique subsaharienne et le renouvellement des accords de libre-échange et d’exportation en franchise de droits avec eux. Dans les années à venir.
Le périodique américain a indiqué que la loi américaine sur « le soutien des opportunités de croissance en Afrique » l’African Growth and Opportunity Act (Agoa) expirera en l’an 2025, et que l’administration du président américain prolongera le travail de cette loi, permettant aux exportations africaines de accéder aux marchés américains « sans douanes ». D’une manière qui procure de grands avantages à la croissance des économies africaines, le périodique américain a déclaré que le programme de libre-échange américain avec l’Afrique, qui est né et a grandi il y a 20 ans, était le modèle adopté par les pays du continent africain pour formuler le programme de libre-échange africain, qui est un programme mis en œuvre au niveau continental et vise à créer une zone de libre-échange continentale africaine.
Et le périodique américain d’ajouter que des pays comme la Guinée, l’Éthiopie, le Rwanda et le Mali, qui ont tous été suspendus de la participation au mécanisme américain de facilitation des échanges, sont désormais des membres actifs du Programme africain de libre-échange (African Free Trade Area ) et par lequel ils peuvent accéder à leurs marchandises sur le marché américain, ce qui a été confirmé par le secrétaire d’État américain Anthony Blinken, qui a déclaré que les programmes de libre-échange américano-africains incarnent en pratique une vérité à laquelle Washington croit : l’Afrique « fera l’avenir du monde ».
