L’Algérie, ce pays qui se prend pour la puissance régionale de frappe, est en réalité en train de sombrer dans une contradiction criante. En effet, malgré ses hauts revenus énergétiques, l’Algérie est contrainte de quémander de l’aide internationale. Et c’est ainsi que le Fonds central d’intervention d’urgence des Nations Unies (CERF) a fourni la modique somme de 3 millions de dollars à l’Algérie pour répondre à des besoins urgents liés au manque de financement dans le pays. Un soutien des Nations Unies aux opérations humanitaires qui place l’Algérie sur le même pied d’égalité que des pays comme le Bangladesh, l’Ouganda, le Venezuela, le Mali ou le Mozambique.
Le comble, c’est que l’Algérie, qui se vante de son statut d’État pétrolier, se retrouve au même niveau que des pays qui souffrent d’un taux d’inflation élevé et de déséquilibres économiques et sociaux. Pourtant, l’Algérie est l’un des plus gros acheteurs d’armes au monde, en particulier de la Russie. En 2022, la valeur de ses achats d’armes russes a atteint sept milliards de dollars. Ce qui a poussé le sénateur américain Marco Rubio a envoyé une lettre au secrétaire d’État américain Anthony Blinken, appelant à imposer des sanctions à l’Algérie pour son achat d’armes russes, et cela ne devrait pas surprendre compte tenu des liens étroits entre l’Algérie et les organisations terroristes de la région ou du Sahel africain. Malheureusement, les signes d’une aggravation de la situation ne cessent de se multiplier, alors que le régime algérien continue de gaspiller de l’argent pour acheter des voix et financer des groupes terroristes, tout en laissant son infrastructure se dégrader.
Le rapport de l’agence américaine spécialisée en économie est clair : l’Algérie ne sera pas un pays exportateur de gaz et de pétrole après la transition verte des pays européens.
En outre, un rapport de la Commission de l’Union européenne a révélé que l’Algérie échouera lamentablement dans sa propre transition énergétique, entraînant une faillite économique inévitable. Mais cela ne semble pas inquiéter les généraux qui continuent de mener le pays à sa perte.
L’Algérie est confrontée à de nombreux défis économiques, politiques et sociaux, selon de nombreux rapports internationaux. Les généraux au pouvoir ont dépensé des sommes considérables pour soutenir les mercenaires du Polisario et les mouvements terroristes, au lieu d’investir dans des projets à long terme pour l’avenir du pays.
Malgré les avertissements des experts en économie, le gouvernement algérien continue d’accumuler des richesses dans des banques étrangères et d’acheter des armes obsolètes. Les récents rapports de l’agence américaine spécialisée en économie ont souligné que l’Algérie, qui dépend à 90% de ses revenus pétroliers, risque de ne plus être un exportateur de gaz et de pétrole après que les pays européens auront adopté des politiques de transition énergétique.
Un autre rapport publié par la Commission de l’Union européenne a mis en évidence l’échec inévitable de l’Algérie face aux défis économiques à venir. L’infrastructure du pays est en piteux état, et les droits de l’homme y sont régulièrement bafoués, comme le montrent les rapports internationaux sur la répression du Hirak et des militants kabyles et touaregs.
L’Algérie est devenue une grande prison, où la faillite morale et éthique est alimentée par l’esprit militaire totalitaire du régime au pouvoir. La machine médiatique du gouvernement continue de falsifier l’histoire et de tromper le peuple, comme le montre le célèbre dicton de Joseph Goebbels, « Mentez, mentez, puis mentez jusqu’à ce que les gens vous croient. »
