Economie

La mise en œuvre de technologies dérivées du nucléaire en Afrique

La mise en œuvre de technologies dérivées du nucléaire en Afrique

La Chambre africaine de l’énergie a rencontré le Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, pour discuter de la mise en œuvre de l’application du développement humain de la technologie nucléaire en Afrique en appelant à la participation du secteur privé à l’initiative.
Faisant partie de ses objectifs de développement durable, l’initiative se concentre sur la recherche et le développement, le suivi, le diagnostic, le traitement, le renforcement des capacités, le partage des connaissances et l’éducation dans des domaines clés tels que la lutte contre les cancers féminins, l’amélioration de la sécurité alimentaire et le développement agricole, la prévention et la lutte contre les maladies et le changement climatique.
En poursuivant sa collaboration avec la Chambre africaine de l’énergie et son solide réseau de secteur privé, l’AIEA cherche à introduire de nouvelles technologies dans plusieurs secteurs du marché africain comme moyen de relever les défis apparents et d’obtenir des résultats durables.
«Au cours des dernières années, la Chambre a été déterminée à contribuer à la croissance et au développement durables de l’Afrique en utilisant son réseau d’acteurs du secteur privé opérant dans l’industrie énergétique africaine pour influer sur un changement qui va au-delà des secteurs du pétrole, du gaz et de l’électricité», a déclaré NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie. «Nous pensons que les défis mis en évidence par l’application de la technologie nucléaire au développement humain exigent une urgence féroce pour le continent de relever certains de ses plus grands défis qui ont contribué à la lenteur de la croissance économique de l’Afrique.
La Chambre africaine de l’énergie comprend que le secteur privé a un rôle important à jouer dans l’accélération de la croissance de l’Afrique et est heureuse de collaborer avec une agence réputée telle que l’AIEA pour explorer des solutions contemporaines aux défis considérables auxquels les pays africains sont confrontés.

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