En Algérie, des personnalités politiques d’opposition à l’intérieur et à l’extérieur du pays ont affirmé que le gouvernement militaire s’oriente vers la consécration d’un mode de gestion basé sur le service de cercles d’argent et d’influence, ainsi que d’hommes d’affaires ayant des liens étroits avec les généraux du mal, et ce, dans un mépris total des principes de transparence et de reddition de comptes, ainsi qu’un mépris évident des droits les plus élémentaires du citoyen misérable en matière de nourriture, d’eau potable et d’électricité, au point que nous vivons au Moyen Âge sous le joug oppressif des militaires…
Ces forces politiques d’opposition ont accusé la politique du gouvernement du président Tebboune de s’engager dans une collusion flagrante avec des lobbies économiques qui épuisent les richesses du pays et ses ressources souterraines, accumulant des profits exorbitants à travers des contrats suspects, ce qui gonfle les comptes des généraux, de leurs entourages et de leurs enfants, ainsi que ceux de leurs amis hommes d’affaires et barons de la drogue, tandis que s’aggravent les souffrances du citoyen pauvre sous le poids de la cherté de la vie, du chômage, de la propagation de la corruption et de la prostitution bon marché, avec la détérioration des services sociaux les plus élémentaires.
Elles ont souligné que le gouvernement actuel, dirigé par l’efféminé Tebboune, « ne possède ni la volonté ni la compétence pour honorer ses engagements en matière de droits, mais s’est transformé en un outil entre les mains d’une autorité oppressive dominante et d’un capitalisme qui contrôle les décisions politiques et économiques du pays », l’opposition a dénoncé le silence gouvernemental sur la collusion avec des responsables dans les entreprises d’exportation d’hydrocarbures qui ont accumulé des profits exorbitants sans qu’aucune mesure stricte ne soit prise contre eux, ce qui soulève « de grandes interrogations sur qui protège ces entités et leur donne le feu vert pour épuiser les richesses du pays ».
Les militants dans notre pays martyr ont également condamné ce qu’ils ont qualifié de manipulation institutionnelle de la part du gouvernement du mal, lorsqu’il a tourné son regard vers les investisseurs étrangers, l’accusant d’ignorer le rôle fondamental joué par les investisseurs locaux, et considérant que l’approche gouvernementale est désormais biaisée de manière flagrante en faveur des hommes d’affaires amis des généraux et de leurs gendres, au détriment du pain quotidien du peuple lésé.