Economie

Le secteur privé africain est demandé à participer avec enthousiasme dans les travaux de Team Energy

Le secteur privé africain est demandé à participer avec enthousiasme dans les travaux de Team Energy

La Chambre africaine de l’énergie a participé plus tôt dans la journée au lancement de Team Energy, une initiative de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) visant à créer un regroupement informel d’investisseurs africains dans les énergies propres, de développeurs de projets et d’institutions dédiées à lutter à nouveau contre la précarité énergétique. Team Energy vise à servir de catalyseur pour les investissements transformateurs du secteur privé dans les énergies propres dans le cadre de l’initiative ODD 7 de la CEA.

L’initiative a été lancée à l’issue du 4e Forum des entreprises africaines de la CEA, qui a été ouvert par S.E. Uhuru Kenyatta, président de la République du Kenya et Dr. Vera Songwe, secrétaire exécutive de la CEA.

Les principaux d’entre eux sont la nécessité de développer des mécanismes de financement à un chiffre en monnaie locale, de renforcer les capacités du secteur privé africain et de tirer parti des opportunités de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) pour soutenir une véritable coopération énergétique transfrontalière.

Le lancement de la ZLECAf devrait devenir un véritable catalyseur de l’expansion de l’industrie énergétique africaine, que ce soit pour soutenir l’industrialisation et le commerce ou pour aider à développer les chaînes de valeur locales et régionales. Des participants clés tels que le Dr Benedict Okey Oramah, président de l’Afreximbank, Alain Ebobissé, PDG d’Africa50 ou Rolake Akinkugbe-Filani, CCO chez Mixta Africa, ont exprimé le besoin d’interventions axées sur l’investissement pour assurer un environnement favorable et renforcer la compétitivité au sein industries manufacturières.

Enfin, l’inclusivité et la diversité de la chaîne de valeur énergétique africaine identifiée comme un pilier clé de sa durabilité. Sans la diversité des genres et l’inclusion, l’industrie énergétique africaine ne sera pas en mesure de construire une industrie durable et prospère qui fonctionne pour tout le monde. À mesure que l’industrie énergétique du continent se développe, elle ne peut prospérer que grâce à la participation économique, à l’inclusion et à la diversité.

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