Politique

Union africaine : Nous cherchons à trouver une issue qui ouvrira la voie à des élections au Soudan

Union africaine : Nous cherchons à trouver une issue qui ouvrira la voie à des élections au Soudan

L’Union africaine a affirmé son souci de la stabilité du Soudan et s’efforce de trouver une issue qui ouvrirait la voie à des élections « libres » dans le pays, c’est ce qu’a dit Mohamed Balaish, représentant spécial de l’Union africaine au Soudan, lors de sa rencontre avec Abul-Qasim Mohamed Ahmed Bartam, membre du Conseil de souveraineté au palais présidentiel de Khartoum, un communiqué des médias du Conseil souverain, vu par Anatolie, cite le Représentant spécial disant que « la réunion s’inscrit dans le cadre d’un échange d’idées sur la situation actuelle au Soudan ».

« L’Union africaine tient à la stabilité du Soudan et s’efforce de trouver une issue qui ouvrira la voie à des élections libres et équitables et de déterminer qui dirigera le pays à l’avenir », a affirmé Belaish, le responsable africain a souligné « la nécessité de préserver la souveraineté, l’unité et la stabilité du Soudan et d’adhérer au principe du dialogue pour surmonter toutes les difficultés par des moyens pacifiques et conciliants, loin de toute forme de violence et de tout ce qui affecte les constantes nationales », il a ajouté : « L’Union africaine soutiendra tous les bons efforts et efforts nationaux pour combler le fossé, renforcer le consensus national et organiser la phase de transition sur la base convenue par les Soudanais, en particulier la majorité silencieuse ».

Et samedi, le président du Conseil de souveraineté soudanaise, Abdel Fattah Al-Burhan, a reçu un message écrit du président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki, concernant la vision de l’union sur les développements politiques au Soudan et les moyens de sortir de la crise en le pays, depuis le 25 octobre dernier, le Soudan a connu des manifestations en réponse aux mesures exceptionnelles prises par le chef de l’armée, Al-Burhan, notamment l’imposition de l’état d’urgence et la dissolution des Conseils de souveraineté et des ministres de la transition, que les forces politiques considèrent comme une « coup d’état militaire », en échange du refus de l’armée.

  La France viole le droit international en inspectant de manière humiliante le ministre centrafricain des Affaires étrangères
Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top