Politique

Les présidents ivoirien et togolais proposent des solutions régionales pour lutter contre le terrorisme

Les présidents ivoirien et togolais proposent des solutions régionales pour lutter contre le terrorisme

Le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, et son homologue togolais, Faure Isozimna Gnassingbé, ont affirmé à Abidjan leur engagement à œuvrer pour la promotion de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest à travers des solutions régionales dans la lutte contre le terrorisme, selon un source officielle, à la sortie de la réunion, Faure Gnassingbé a déclaré : « Aujourd’hui, nous ne pouvons rester indifférents aux problèmes régionaux, notamment le terrorisme, qui ne peut plus être considéré comme un problème du Mali, du Burkina Faso ou du Niger, mais plutôt un problème régional de la Communauté économique du États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Et puisque les problèmes sont au niveau régional, je pense que les solutions doivent aussi être régionales », selon un communiqué de la présidence ivoirienne.

Le président togolais a estimé que les chefs d’Etat de la région devaient tout mettre en œuvre pour sortir de l’impasse d’une part, et penser, d’autre part, « interagir avec plus d’audace et plus de solidarité » avec les situations de transition politique et le terrorisme que vivent certains pays de la région, selon la même source, il a souligné que « la situation est difficile pour des pays comme la Guinée, le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Ce sont des pays très proches et nous sommes pareils. Les gens sont plus intégrés que les pays. Je suis sûr que dans nos différents pays la population souffre de cette situation », Faure Gnassingbe a exprimé son espoir que les consultations se poursuivront entre les chefs d’Etat, ainsi qu’avec les autorités de transition au Mali, au Burkina Faso et en Guinée.

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Il a ajouté : « La tourmente actuelle n’est qu’un mauvais arc. Ce sont des situations de transition qui doivent passer et nous sommes obligés de travailler et de discuter avec les dirigeants actuels, en gardant à l’esprit que ce qui est important, c’est la paix et la sécurité. peuples à subir des sanctions».

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