Les organisations internationales n’ont pas bougé le petit doigt pour la situation des droits de l’homme en Algérie, en particulier les meurtres, les enlèvements et les arrestations arbitraires dont sont victimes les citoyens libres en Algérie, pour nous assurer qu’elles ont leur propre agenda et leurs propres objectifs qu’elles cherchent à atteindre par tous les moyens et méthodes, même si le résultat est l’extermination du peuple algérien, comme cela s’est produit au cours de la décennie noire, ou l’entrée du pays dans une future guerre civile…
Les organisations comme « Amnesty International » et « Human Rights Watch » ne condamnent ni ne dénoncent ce que fait le régime des généraux en termes de meurtre de personnes libres, d’enlèvement de citoyens et de torture de militants dans les prisons.
En effet, nous n’avons pas entendu, par exemple, que ces organisations ont condamné les meurtres de militants, comme cela s’est produit avec le militant Hakim Debbazi, ou ont condamné les enlèvements de centaines de citoyens dans toutes les régions de l’Algérie et à l’étranger, comme cela est arrivé au militaire dissident Mohamed Benhalima et le gendarme Mohamed Abdallah, ou condamnant la torture jusqu’à la mort des prisonniers d’opinion, comme cela est arrivé au militant Abdellah Ben Naoum.
C’est ce qui nous pousse à comprendre qu’Amnesty International et Human Rights Watch sont totalement injustes envers le peuple algérien. Au contraire, ils étaient biaisés envers le régime des généraux, et cela peut être qualifié de double jeux par leur silence envers les crimes contre l’humanité commis par le régime des généraux en Algérie, il semble donc que les rapports de ces organisations sont prêts pour ceux qui paient des millions de dollars, ce qui est considéré comme une véritable honte dans leur histoire, et ceux qui les dirigent devraient se retirer du domaine des droits de l’homme parce qu’ils ont été dépouillés de la moindre éthique professionnelle dans leur travail, les généraux ont versé des centaines de millions de dollars à Amnesty International et à Human Rights Watch, pour nous faire comprendre que les déclarations et les rapports de ces organisations sont avant tout politiques et non humains.
