Politique

Il n’y a pas une liberté d’opinion en Algérie, mais seulement lécher les bottes des généraux

Il n'y a pas une liberté d’opinion en Algérie, mais seulement lécher les bottes des généraux

Le monde entier commence maintenant à connaître la grande souffrance vécue par le citoyen en général et le journaliste en particulier en Algérie, alors que chaque personne, qu’il s’agisse d’un vieillard, d’une femme ou d’un enfant, ait été arrêtée parce qu’elle parlait du régime des généraux. Ce régime qui donne des millions de dollars aux journaux internationaux et arabes et aux YouTubers pour lui présenter des compliments, lui créer de faux héroïsmes et le présenter comme un système que tous les pays européens craignent. Mais, ce qui est étrange, c’est que quatre-vingt-dix pour cent des Algériens croient à ces mythes.

La scène politique algérienne connaît de nouvelles escalades contre la liberté d’opinion et d’expression, malgré le discours continu sur les revendications des journalistes sur une formule légale qui garantit la prévention de l’emprisonnement des journalistes dans les affaires de publication, et il semble que le régime des généraux ne veuille pas arrêter ses pratiques, décriées par tous envers la presse, les journalistes et la liberté d’opinion, malgré les assurances constantes de la marionnette des généraux, Tebboune, sur le principe de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, ce qui est contredit par les arrestations et les condamnations prononcées contre des journalistes dans des affaires de liberté de publication.

En effet, la liberté des journalistes est aujourd’hui plus menacée que jamais, ce que nous voyons aujourd’hui, c’est une guerre féroce entre l’élite influente avec son nouveau style dans la communauté journalistique et les organes de l’État, est une situation suspecte et exceptionnelle qui peut à nouveau pousser à la l’émigration des journalistes, et qui pourrait conduire à une répétition des tragédies de la décennie noire.

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En se basant sur le rôle dangereux et délicat que joue la presse en tant que mécanisme nécessaire qui fournit au citoyen à travers les données contenues dans ses pages d’introduction pour construire ses positions, il est donc inopportun que l’État tente de contenir cet éveil journalistique et de le vider de son contenu d’encadrement et de sensibilisation et de l’empêcher de mener à bien sa mission, car quoi qu’il en soit que le régime des généraux tente de réprimer la presse libre, le jour du renversement de ce régime est proche.

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