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Experts : Les Nations Unies sont « liées » concernant le Soudan

Experts : Les Nations Unies sont « liées » concernant le Soudan

Les experts qui ont parlé au programme « Behind the News » ont reconnu la difficulté de succès des interventions extérieures pour mettre fin aux combats au Soudan, et ont déclaré que les sanctions que Washington menace d’imposer aux deux parties au conflit pourraient leur donner l’occasion de continuer à se battre, selon l’expert des affaires des Nations Unies, Abdul Hamid Siam, les Nations Unies et la communauté internationale ont fait des efforts et des mesures pour contenir la situation depuis le début de la confrontation armée entre l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide, mais les deux belligérants les parties n’ont pas répondu aux appels et aux appels lancés pour un cessez-le-feu et des trêves temporaires.

Siam a déclaré – dans son interview avec l’épisode (21/04/2023) de l’émission « Beyond the News » – que l’ONU est la seule partie qui peut communiquer avec les deux parties belligérantes depuis l’intérieur du Soudan, mais elle n’a pas de vrais moyens, et il est  » menotté  » et le déplace sur le terrain. Il est difficile et peu sûr, soulignant qu’il a perdu 3 de ses 3 000 employés estimés, et qu’ils travaillent actuellement depuis leur domicile au Soudan, à la lumière de cela, le Siam a appelé à une véritable intervention de la communauté internationale pour mettre fin à la confrontation armée, en particulier des pays influents et influents de ce pays, exprimant sa crainte que les affrontements actuels ne s’étendent et ne se transforment en guerre civile, d’autant plus que le le chef du Conseil de souveraineté, Abdel Fattah Al-Burhan, représente le nord du Soudan et le commandant des Forces de soutien rapide, Mohamed Hamdan Dagalo (Hamedti), représente l’ouest du Soudan.

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Il a également vu que le peuple soudanais est le parti qualifié pour contraindre les deux parties à un cessez-le-feu par le biais de mouvements populaires généralisés, comme ils l’ont fait lors du renversement de l’ancien président Omar Hassan el-Béchir.

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