Politique

Le gang des généraux sur un terrain brûlant et des bombes à retardement plantées aux frontières de l’Algérie

Les anciennes communautés arabes disaient : « Celui qui sème le bien récolte le bien, et celui qui sème le mal récolte le mal et les malheurs ». Elles disaient aussi : « Celui qui creuse un piège pour son frère doit prendre garde à ne pas y tomber lui-même en premier ». Ces proverbes s’appliquent parfaitement au gang des généraux qui tient nos cous sous une poigne de fer et des mains souillées par le sang de citoyens innocents. Nos frontières avec nos voisins arabes et africains sont devenues des bombes à retardement, prêtes à exploser à tout moment.

Une guerre féroce pourrait éclater, que ce soit avec les pays du Sahel, lassés des ingérences des généraux du mal dans leurs affaires internes et de leur financement des mouvements séparatistes et des mercenaires, ou avec notre voisin libyen, sous la direction du général rebelle Haftar, qui rejette la politique hostile des généraux et convoite les territoires libyens injustement accaparés par ce gang du mal. Sans oublier l’ennemi classique du pisseur Chengriha, le Royaume du Maroc, dont la patience s’épuise face aux provocations puériles des généraux.

Dans une démarche désordonnée reflétant l’ampleur de l’inquiétude et de la peur qui hantent les décideurs (les généraux) au palais d’El Mouradia, face à l’accélération des développements sur la scène internationale, la Commission des affaires juridiques et des libertés au Parlement a appelé à prendre des mesures préventives urgentes. Ces mesures incluent la construction d’abris et d’installations dédiées à la protection des civils en prévision d’éventuelles situations d’urgence, de conflits ou de guerres à venir. Cet appel intervient dans le cadre de l’examen d’un nouveau projet de loi sur la mobilisation générale, que les autorités cherchent à adopter pour renforcer la preparedness nationale face aux menaces potentielles provenant des pays voisins ou de l’extérieur du continent.

  L'Union africaine annonce qu'elle est prête à apporter un soutien au Mali en coordination avec la CEDEAO

La commission parlementaire a insisté sur la nécessité d’accélérer la mise à disposition des moyens logistiques nécessaires, de construire des abris sécurisés et d’adapter les infrastructures à travers le pays pour répondre aux exigences de la mobilisation générale. Elle a souligné que ces initiatives sont une réponse à ce qu’elle qualifie de « bouleversements brusques et rapides dans les relations extérieures avec les pays voisins et d’autres », qui pourraient engendrer à l’avenir des scénarios imprévus, incluant des guerres dévastatrices, des catastrophes civiles telles que la famine, la soif, les maladies infectieuses, ou encore des cyberattaques.

Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top