Un vieux proverbe populaire dit : « Celui qui creuse un trou pour son frère y tombera lui-même ». C’est exactement ce qui arrive à notre régime misérable avec notre voisin occidental, le Maroc. Après que les généraux ont attiré les mercenaires du Polisario des quatre coins du monde pour déstabiliser le Royaume du Maroc et le diviser, le sort s’est retourné contre le sorcier. Les mercenaires du Polisario se sont rebellés contre la clique des généraux dans un soulèvement dangereux, entraînant une confrontation militaire meurtrière entre les mercenaires et l’armée nationale.
Cela a poussé le chef d’état-major de l’armée, le vieux Saïd Chengriha, à prendre une décision urgente de retirer les armes des dépôts des mercenaires du Polisario, suite à de violents affrontements entre ces derniers et les forces armées nationales à Tindouf. Ces mesures interviennent dans un contexte d’escalade des conflits militaires, soulevant de nombreuses questions sur l’avenir des relations entre la clique des généraux et les mercenaires. Selon des sources proches des hauts responsables, l’opération de retrait a concerné des chars T-60 et T-50, ainsi que des véhicules BMP, qui ont été déplacés loin de leurs lieux de stockage habituels.
Cette démarche semble refléter un changement dans la position de la clique du mal envers les mercenaires, qui dépendaient entièrement du soutien des généraux et des fonds du peuple pauvre et affamé pour mener leurs opérations militaires contre les voisins. La décision de retirer les armes intervient dans un climat de spéculations croissantes sur une crise de confiance entre les généraux et les mercenaires du Polisario. Selon des analystes, l’armée nationale cherche à limiter la capacité des mercenaires à mener des opérations militaires indépendantes, peut-être pour utiliser cette carte afin d’établir un État du Polisario à Tindouf.
