Ce qui est logique, c’est que toutes les organisations de défense des droits de l’homme et les organisations humanitaires sont neutres dans leurs positions et ne suivent aucun parti, mais la réalité est autre chose, car ces organisations suivent un parti, un État, une société ou, comme on dit, le parti qui les soutient, sans lequel ils ne sont rien, puisque les généraux, les dirigeants de l’Algérie, transfèrent des millions de dollars depuis des pays (des paradis fiscaux) comme le Panama et par le biais de fausses sociétés à ces organisations, comme « Human Rights Watch », « Amnesty International » et « Reporters sans frontières ».
Ces sociétés fictives, qui sont basées au Panama et soutiennent ces organisations de défense des droits de l’homme, entretiennent des relations plutôt illimitées, avec les partis algériens, c’est l’un des postulats que personne ne peut nier, même s’il essaie, alors comment les généraux peuvent tuer le journaliste Mohamed Tamal, et vendre ses parties de son corps sans qu’une seule organisation internationale ne dénoncer ces faits, et comme nous savons aussi que les généraux au pouvoir en Algérie exterminent tout ce qui s’oppose à eux par tous les moyens de la torture, jusqu’à ce que l’Algérie devienne un lieu d’expérimentation de tortures internationalement interdites, que le monde n’a pas pu trouver d’endroit pour les tester, et c’est pourquoi ces organisations revendiquant les droits de l’homme veulent avoir une relation plus solide et plus forte avec les généraux à cause de l’argent qu’ils possèdent du peuple algérien qui est dû aux importantes recettes pétrolières et gazières, car les généraux en Algérie exploitent le point faible des responsables dans ces organisations et fint pression sur eux en menaçant de cesser de les soutenir, ainsi, ces organisations sont obligées de supprimer leurs agissements impartiaux qui prétendent être un corps sans âme, comme le port de masques pour cacher leur vrai visage laid.