Au cours des dernières semaines, l’Algérie a été témoin de discussions creuses et de pièces de théâtre dévorantes sur la situation des enfants en Algérie, en effet, chaque année, une équipe de défenseur des droits des enfants sort pour dénoncer la situation de l’enfant et ses souffrances, les conditions économiques difficiles qui poussent ses parents à le mettre sur le marché du travail, comme si la souffrance des enfants en Algérie n’était que pendant les jours de séminaires et de flatteries pour les généraux, et le reste de l’année nos enfants vivent une vie d’extravagance.
Et comme d’habitude, le gouvernement tweete à contre-courant et s’exonère de toute responsabilité envers les conditions injustes en Algérie et la souffrance des enfants innocents de l’oppression et de l’injustice du gang au pouvoir, qui si nous mettons un enfant du peuple et un enfant des généraux et on fait une simple comparaison, vous jurez que le premier enfant a été élevé dans les quartiers pauvres d’Inde ou de Somalie, et que le deuxième enfant n’est rien d’autre que le petit-fils de Bill Gates ou le fils d’un prince des pays du Golfe, il y a une grande différence entre les enfants du peuple algérien et les fils des généraux qui ont la nationalité occidentale depuis leur naissance et étudient en Occident, reçoivent des soins en Occident et se marient en Occident, rien ne les lie à l’Algérie si ce n’est la généreuse dotation mensuelle de l’argent du peuple que lui envoie son père, le général, ou sa mère, l’amante du général, alors que nos enfants peinent à se prendre en charge depuis l’enfance et luttent pour le dinar, voire en mendiant et en volant, pour ne pas être expulsé par le père toxicomane et alcoolique, et reste dans la rue sujet au meurtre, de trafic de ses organes ou au viol par des loups humains libérés par Tebboune après avoir gracié les criminels meurtriers pendant les fêtes de l’Indépendance , et cela a été confirmé par notre frère militant politique (A. B) dans une déclaration sur notre site, soulignant que les chiffres du ministère sur l’ampleur de l’utilisation des enfants en Algérie ne sont pas ratifiés par les organisations concernées par les droits des enfants, qui ont toujours remis en cause ces chiffres, et ont aussi dit que la Commission nationale pour la protection et la promotion de l’enfance reçoit quotidiennement, à travers son numéro vert, des notifications de trois à quatre cas d’exploitation économique et sexuelle contre les enfants d’Algérie, qui alors protège nos enfants et nos filles, est-il décrété que nous léguons à nos fils l’humiliation, la honte et le dégoût au pays des généraux ?
