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Barbarie : Un jeune homme viole sa mère et sépare sa tête de son corps en Algérie

Barbarie : Un jeune homme viole sa mère et sépare sa tête de son corps en Algérie

La société algérienne est secouée par des crimes odieux et sanglants depuis plusieurs années, commis par des individus sans scrupules qui n’hésitent pas à se rebeller contre la loi et la religion. Ces héros des ténèbres, surnommés « criminels », ont transformé leur cœur rempli de miséricorde en de véritables bouchers. Armés d’un couteau traître, ils n’hésitent pas à prendre la vie de leurs propres parents pour assouvir leur soif de sang, laissant derrière eux des cadavres mutilés et immergés dans leur propre sang. Certains vont même jusqu’à utiliser des outils tranchants plus dangereux pour commettre leurs atrocités.

Le tribunal correctionnel du Conseil de la magistrature de Bouira vient de condamner à la peine capitale un jeune homme pour meurtre et viol avec préméditation. Cet individu a commis un acte ignoble en tuant et en violant sa propre mère avant de lui séparer la tête du corps à l’aide d’une machette. Les détails de cette affaire sont particulièrement atroces. Les faits remontent à la fin du mois dernier, lorsque le village d’Ighil Oumanchar, à Bouira, a été bouleversé par ce crime épouvantable.

La victime, une femme veuve âgée de 50 ans, vivait dans des conditions précaires avec ses enfants depuis la mort de son mari il y a un an. Elle était en train de préparer le dîner pour sa famille lorsque son fils aîné l’a surprise avec un couperet pointu à la main. Il lui a assené plusieurs coups à la tête, la tuant sur le coup. Mais cela ne lui a pas suffi, il a ensuite violé sa mère et a continué à la frapper jusqu’à lui couper la tête. Le corps de la pauvre femme a été laissé à flotter dans une mare de sang au milieu de sa propre maison. La scène, digne d’un film d’horreur, est d’autant plus tragique qu’il s’agit d’un fils qui a tué sa propre mère. L’auteur de ce crime odieux a ensuite prétendu souffrir de troubles mentaux, mais cela a été démenti par les médecins.

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La cour d’appel criminelle est maintenant chargée de traiter cette affaire choquante qui montre à quel point la société est confrontée à des actes de violence sans précédent. Les familles sont déchirées et les individus vivent dans la peur d’être la prochaine victime.

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