Société

La faim a poussé les Algériens à consommer de la viande de chien et de chat

La faim a poussé les Algériens à consommer de la viande de chien et de chat

A cause de la faim et des prix élevés, des millions d’Algériens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté, consomment de la viande de chien et de chat en en attrapant ces animaux dans la rue, en les abattant et en les écorchant, ou en les achetant à bas prix à d’autres gens, sachant qu’ils sont viande de chien et de chat, car le régime des généraux a obligé de nombreux religieux à autoriser les Algériens à manger la viande de chien et de chat, et qui est similaire à la fatwa de manger de la viande d’âne, et cela est dû au coût élevé de la viande de bœuf et du mouton en Algérie.

Et dans le cadre de l’affaire, les éléments de la Brigade de Police de l’Urbanisme et de la Protection de l’Environnement affiliés à la sûreté de la Wilaya de Bouira ont saisi une quantité importante qui dépassait 2 tonnes de viande avariée de chien et de chat qui était destinée à la commercialisation avant d’être détruite et un procès verbal a été dressé contre le contrevenant, et selon le communiqué de la cellule médiatique de la direction de la Wilaya de la sécurité de Bouira, un processus de surveillance périodique pour les véhicules a montré la présence d’une quantité importante qui dépassait 2 tonnes de viande de chiens et de chats pourris, congelés à l’intérieur des camions frigorifiques, c’est-à-dire la quantité qui n’a pas de certificat vétérinaire et qui n’est pas soumise au contrôle vétérinaire, ainsi que l’absence des conditions de conservation et de réfrigération, et après avoir été examiné par un vétérinaire affilié à la Direction de l’Agriculture, ce dernier a confirmé qu’il s’agissait de viande de chiens et de chats en plus qu’elle était avariée et impropre à la consommation humaine, de sorte que la quantité était saisie puis détruite plus tard à au niveau du centre technique de remblayage selon les procédures en vigueur, tout en prenant des mesures judiciaires à l’encontre du commerçant contrevenant et en transmettant son dossier aux autorités judiciaires compétentes.

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