Société

Les Gulfiques révèlent le scandale du « sexe contre déjeuner » en Algérie

L’été dernier, à cause de la propagation du scandale du « sexe contre déjeuner » en Algérie, impliquant un homme d’affaires qatari, des dizaines d’associations caritatives ont défendu le touriste gulfique, affirmant que les filles se seraient proposées elles-mêmes et que cet homme avait contribué à sauver des milliers d’Algériens de la famine et de la soif. Il aurait répondu aux besoins des démunis et des pauvres à travers les Wilayas du pays en fournissant des repas aux franges vulnérables de la société, ainsi que des vêtements pour les sans-abris qui se trouvent dans toutes les régions de la République.

Ces derniers, négligés par la « mafia des généraux » au pouvoir, sont considérés comme un fardeau pour la société et nuisent, selon les responsables, à l’image de la « nouvelle Algérie ». D’après les cadres de ces associations, les mouvements de la société civile à caractère caritatif ne sont plus en mesure de prendre en charge les franges vulnérables, qui se sont multipliées de manière alarmante dans toutes les régions et périphéries du pays. Cela est dû à l’absence de soutien de l’État et à une dépendance totale envers les bienfaiteurs étrangers, principalement originaires des pays du Golfe et des pays voisins. Cette situation a affecté les activités des associations caritatives, les rendant souvent incapables de programmer des actions solidaires.

La présidente d’une de ces associations, lors d’une récente visite solidaire dans une maison de retraite où elle a organisé, avec les membres de l’association et des bienfaiteurs gulfiques, un repas en l’honneur des personnes âgées résidentes, a déclaré : « Les associations caritatives, malgré leur rôle central tout au long de l’année pour répondre aux besoins des nombreuses franges vulnérables qui se nourrissent dans les poubelles et boivent des eaux usées, ne sont plus en mesure de financer leurs activités caritatives faute de soutien financier ».

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Elle a souligné que la main-d’œuvre est disponible grâce aux nombreux bénévoles de l’association, mais le principal problème réside dans l’inaction de l’État des généraux envers cette large frange vulnérable de la société. « Sans le soutien de certains bienfaiteurs gulfiques, des milliers d’Algériens seraient morts, et nous-mêmes serions en train de mendier dans les rues de la capitale » ! a-t-elle ajouté.

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