Lorsque l’ignorance, la pauvreté, la répression sexuelle, la prostitution bon marché ou coûteuse, le manque de pudeur et de chevalerie se répandent dans une société algérienne malade, mélange de races, attendez-vous à une catastrophe majeure et à pire encore. La multiplication des viols, des harcèlements sexuels contre les mineures, filles et garçons, et la course effrénée au sexe par tous les moyens sont le résultat d’une politique systématique planifiée par la mafia des généraux dans les coulisses du palais d’El Mouradia. Leur objectif est de détourner le troupeau du droit chemin, de faire émerger des générations de criminels, de harceleurs et de violeurs qui ne se préoccupent que de remplir leur ventre et d’assouvir leurs désirs sexuels déviants, afin que le pouvoir en Algérie reste aux mains de cette mafia vieillissante, facilitant ainsi leur contrôle d’un peuple opprimé et écrasé.
Des caméras féminines traquent les harceleurs dans le pays : Des jeunes filles ont lancé une campagne audacieuse pour lutter contre le harcèlement dans les rues, en appelant à filmer les harceleurs et à les dénoncer sur les réseaux sociaux sous le slogan « Filme-le et porte plainte ». Des vidéos, qui se sont rapidement propagées, documentent les agissements de jeunes et d’adolescents qui harcèlent verbalement et physiquement dans les rues, allant jusqu’à proposer des « nuits rouges » aux filles et aux mineurs devant la caméra, sans honte ni pudeur. Cette campagne a reçu un large soutien de la part des citoyens ordinaires, qui la considèrent comme un moyen de dissuasion nécessaire face à la passivité des autorités officielles.
Cependant, d’autres l’ont critiquée, arguant que les tenues indécentes, presque nues, en sont la cause. Certains se sont interrogés : pourquoi ne filme-t-on pas aussi les visiteurs gulfiques et étrangers lorsqu’ils harcèlent les femmes, les filles et les mineurs dans le pays ? L’Algérien pauvre n’aurait-il pas assez d’argent pour plaire aux filles algériennes, contrairement aux Gulfiques et aux visiteurs ? Par ailleurs, des juristes ont mis en garde contre les dangers juridiques du Diffamation en raison d’une nouvelle loi qui criminalise le fait de filmer une personne sans son consentement, ce qui pourrait exposer la victime elle-même à des peines de prison ou à des amendes.
