Les touristes étrangers préfèrent désormais visiter l’Algérie en raison de la prostitution homosexuelle à bas prix et de la beauté de ses jeunes éphèbes. Dans ce contexte, notre site a rencontré Haifa, pseudonyme d’un jeune Algérien qui a déclaré : « Depuis l’âge de 13 ans, je me suis enfui de chez moi avec un homme syrien. Je sais que j’étais recherché pour le compte de ma famille, mais malgré cela, je ne suis rentré chez moi qu’après des années. J’ai commencé à gagner 2000 dinars par client. Aujourd’hui, je suis majeur et libre de mes actes. Laissez-moi tranquille, s’il vous plaît. J’habitais une cabane en tôle avec ma mère pendant plus de 12 ans.
Aujourd’hui, je travaille à Capris. Ce n’est pas de ma faute si je suis un éphèbe qui aime les hommes. Ce qui se passe au palais d’El Mouradia est bien pire que ce qui se passe ici ». Ces propos ont été tenus par Haifa aux services de la sécurité nationale à Oran lors de descentes dans des repaires de prostitution, des réseaux homosexuels et des foyers de criminalité dans plusieurs places, stations touristiques et quartiers chauds de la ville radieuse, devenue l’une des villes les plus dangereuses d’Algérie en raison de la prolifération de toutes formes de prostitution. Initialement, la première étape de notre équipe secrète fut la plage de « Saint-Germain » à Aïn El Turk, où les forces de l’ordre ont découvert un repaire de prostitution et d’homosexualité. Il s’agissait d’un grand appartement géré par un jeune homosexuel, connu sous le nom de « chachra » (proxénète), appelé Amine ou « Mimi », un nom par lequel il est connu, en compagnie de sa mère, absente lors de la descente. Selon le jeune homme, sa mère travaille dans une « superette ».
Lors de la perquisition, les autorités ont trouvé des boissons alcoolisées, des préservatifs et des vitamines sexuelles, indiquant que l’endroit était le théâtre de nuits agitées avec la présence de prostituées et d’homosexuels, originaires de la région et d’ailleurs. Lorsque les policiers l’ont arrêté, il a tenté de se suicider en se jetant d’une hauteur donnant sur la plage et a crié : « Vous travaillez, moi aussi je travaille et je gagne ma vie. Que voulez-vous de moi ? Laissez-moi tranquille » ! Cependant, les forces de l’ordre l’ont maîtrisé et conduit au siège de la sûreté de la daïra d’Aïn El Turk. Sur place, nous avons appris qu’Aïn El Turk est devenue un refuge pour les homosexuels et les prostituées, ce qui a considérablement boosté le tourisme dans cette région. Les touristes du Golfe et chinois la considèrent comme le paradis des éphèbes et des prostituées en Algérie, générant des revenus importants pour l’économie du pays.
