En Algérie, un policier de grade brigadier-chef, nommé « D.L », travaillant au sein du service de la police judiciaire, brigade de lutte contre les stupéfiants et les substances psychotropes, dans le secteur est 02 de Bab Ezzouar, a été victime du vol de son pistolet, de sa ceinture d’uniforme réglementaire et de ses menottes, qu’il conservait dans son casier personnel.
Les objets volés ont été retrouvés peu après, abandonnés non loin du siège du service, enveloppés dans un sac plastique noir. Il s’est avéré par la suite que l’auteur du vol était un collègue de la victime, « M.M », qui a avoué avoir commis le larcin alors qu’il était dans un état d’inconscience, souffrant de troubles psychiques depuis les années 1990, après avoir été blessé par deux tirs par balle à la tête et au cou, l’accusé « M.M » a comparu devant la première chambre pénale du tribunal d’Alger pour répondre de l’accusation de vol commis par un employé, avec la circonstance aggravante de la nuit.
