Economie

Les généraux continuent d’appliquer la politique de la carotte et du bâton au peuple algérien

Les généraux continuent d’appliquer la politique de la carotte et du bâton au peuple algérien

 En Algérie, où les caractéristiques de l’État font défaut, et sans avertissement préalable, la suppression des impôts en Algérie a été annoncée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune lors du conseil des ministres, et qui ont été introduite dans la loi de finances du nouvel an 2022. Ces impôts avaient été imposés à partir de ce mois de février et a provoqué la colère des producteurs, des consommateurs et des importateurs en raison de ses taux exceptionnellement élevés.

La valeur des nouveaux droits et taxes sur les marchandises importées a dépassé les limites de 150%, ce qui signifie que les prix ont doublé au moins trois fois, et selon la présidence de la République algérienne, l’annulation de cette décision est temporaire et non définitive, comme il l’a indiqué dans son communiqué : « Gel de toutes les taxes et redevances, à compter d’aujourd’hui jusqu’à nouvel ordre, l’application des taxes et impôts sur les produits alimentaires et le matériel informatique, imposés par la loi de finances 2022, et tous les impôts et taxes sur le e-commerce, les téléphones portables, les matériels informatiques à usage personnel et les startups en se contentant des tarifications réglementées..

Et ici de nombreux analystes estiment, que le retrait du gouvernement algérien sur la politique des impôts édictés par la proposition du gouvernement et l’approbation du Parlement ne peut être compris qu’à travers l’ébullition que le front social a connu en raison des prix scandaleux et la faim qui frappent des millions d’Algériens.

Le politologue Ben Hamou a déclaré que Tebboune considère les taxes qui ont été récemment promulguées comme une provocation au peuple qui pourrait mobiliser la rue avant le troisième anniversaire du Hirak populaire correspondant au 22 février 2022, et que la décision de promulguer des lois et de les retirer est un phénomène algérien par excellence, comme feu le président Abdelaziz Bouteflika, qui a cherché à augmenter sa popularité à travers ces décisions chaque fois qu’il a senti leur déclin dans le cadre de la politique du bâton et de la carotte avec le peuple algérien.

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