Malgré la hausse des prix du gaz et du pétrole, qui a fait rebondir le trésor public algérien, de nombreux militants sur les réseaux sociaux ont averti les Algériens qu’une situation difficile se profilait à l’horizon, et qu’auparavant le prix du baril atteignait 140 dollars et que le peuple algérien n’en profitait pas, seuls les comptes bancaires des généraux étaient remplis, quant au citoyen Algérien, il a vécu dans la misère et la famine…
Les militants ont ajouté que des jours difficiles et dangereux attendent les Algériens, ce qui menace la stabilité du pays compte tenu de l’incapacité du gouvernement à faire face aux problèmes liés à la situation économique et sociale complexe, malgré les fausses promesses faites par le président Tebboune, et sa commercialisation de programmes et de politiques volontaristes qui, selon lui, visent à résoudre les différents dilemmes auxquels sont confrontés les Algériens dans leur vie quotidienne, les militants affirment que la rareté des produits de base et les files d’attente sont l’un des problèmes épineux, tandis que la politique et les théories de la protection sociale ont souvent été évoquées, mais à la lumière de la gestion du phénomène avec un esprit non stratégique, le plan social a été élaboré, et qui a été traité par les médias et le marketing, et pour lequel d’importantes sommes d’argent public ont été dépensées, douteuses et suspectes.
Au fil du temps, l’effet désiré n’est pas apparu, la propagande autour de lui s’est calmée, et ses superviseurs du gouvernement se sont cachés derrière sans fournir aucun compte rendu à ce sujet, les militants algériens ont cité la situation des citoyens du sud qui ont subi de graves dommages en raison de la sécheresse, critiquant le projet social qui n’a pas pu les sauver, ni les immuniser, ni d’autres programmes présentés par les autorités, et ils ont poursuivi qu’en plus du phénomène de la sécheresse, la crise de Corona a jeté une ombre sur la situation générale , sans parler de la guerre en Ukraine, dont l’Algérie sera inévitablement affectée sur le plan économique, malgré sa contribution à la hausse des prix du pétrole et du gaz algériens, car en retour, l’Algérie importe l’essentiel de ses besoins alimentaires et industriels, qui vont augmenter de prix à cause de la guerre.
