Des opposants, tant de l’intérieur que de l’extérieur du pays, ont mis en garde contre la situation dangereuse que traverse notre république malheureuse sous le règne de l’efféminé Tebboune. Ils soulignent l’aggravation des crises dans tous les secteurs et l’élargissement terrifiant du cercle de la pauvreté, menaçant d’une explosion imminente, ils affirment que le régime militaire est confronté à une véritable impasse, alors que tout s’effondre progressivement en Algérie. Le pays ne s’oriente pas vers le « nouveau modèle de développement » vanté par le régime des généraux, mais vers un effondrement total.
Ils critiquent sévèrement le président du pays, le chien Tebboune, qui mène un projet fallacieux intitulé « recyclage de la ruine », imposant répression et torture à quiconque ose s’opposer à la bande au pouvoir, à ce sujet, ils déclarent : « Alors que le gouvernement de Tebboune promettait le salut économique, il poussait le pays vers l’abîme ». Ils ajoutent : « Ce qu’on appelle le plan de la ‘Nouvelle Algérie’, sur lequel des milliards de dinars ont été dépensés, a échoué à garantir ne serait-ce qu’un morceau de pain pour le citoyen ordinaire. Il a entraîné des catastrophes environnementales et un épuisement énergétique des richesses souterraines, transformant le pays en une vitrine pour les visiteurs, les étrangers et les courtisans amis des généraux ».
Dans le même contexte, « l’investissement étranger dont se vantent les autorités militaires se limite à des projets immobiliers et énergétiques qui enrichissent une petite élite, tandis que les investissements productifs ont fui le pays comme on fuit la peste ou la famine ». Quant à l’éducation, elle « s’est transformée en une usine de crétinisation systématique, produisant des criminels, des homosexuels et des prostituées ». Le secteur de la santé, lui, « est devenu un abattoir quotidien : des milliers de villages sont privés de médecins, les patients meurent aux portes des hôpitaux, tandis que des milliards de dollars sont dépensés pour la cause séparatiste du Front Polisario, ainsi que pour les enfants et les familles des généraux qui vivent une vie de princes et de seigneurs. Pendant ce temps, le peuple opprimé continue de se nourrir dans les poubelles et de boire dans les égouts…
