Politique

Un grand scandale après une tentative de fraude aux élections africaines par l’Algérie et la complicité de l’Afrique du Sud

Un grand scandale après une tentative de fraude aux élections africaines par l'Algérie et la complicité de l'Afrique du Sud

Les Libéraux d’Afrique ont expulsé l’Algérien Djamel Bouras, l’ancien président par intérim du Parlement panafricain, de l’intérieur du Parlement panafricain, lors du processus électoral du bureau du Parlement, qui s’est tenu à Midrand, en Afrique du Sud…

 

Selon la vidéo circulant sur les plateformes de médias sociaux, Djamel Bouras a été expulsé de la salle après avoir pris d’assaut le Parlement africain pour falsifier les élections, malgré que son adhésion au Parlement africain est à l’origine suspendu et n’a pas de statut pour y assister, il est entré dans des altercations verbales avec un groupe de représentants africains, mais son comportement a rencontré une réaction qui a été rejetée par les députés du Parlement.

 

Selon les nouvelles venant du Parlement africain, les représentants de l’Afrique du Sud, avec la complicité des représentants du Zimbabwe et de l’algérien Djamel Bouras, ont tenté de retarder et d’entraver le processus électoral par divers moyens en cherchant derrière cela à améliorer les chances du candidat zimbabwéen, et la raison de cette obstruction est venue après la jouissance d’une candidate du Mali des plus grandes chances de décrocher le poste de présidente du Parlement africain.

 

Elle a été harcelée dès le début par le candidat zimbabwéen, soutenu par l’Afrique du Sud et l’Algérie, qui l’ont menacé de retirer sa candidature, et malgré la menace et la complicité algérienno-Sud-Africaine, la candidate malienne a conservé toutes ses chances de remporter la présidence, ce qui a poussé les députés de l’Afrique, du Sud Afrique et du Zimbabwe à semer le chaos dans la salle.

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En fait, ils ont même proféré des menaces de mort lors de cette session législative du Parlement africain, et finalement les députés n’ont pas pu organiser d’élections, et après avoir exigé la présence de la sécurité, il n’y a eu aucune réponse à cela et ils sont restés plus de deux heures à l’intérieur du hall avant d’être surpris par la désactivation de tous les appareils, y compris la climatisation et l’éclairage intérieur et la fermeture hermétique du hall pour forcer tout le monde à se retirer, et avant cela, une tentative de faire sortir l’urne électorale.

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