Politique

Oromo Liberation confirme son intention de prendre le contrôle d’Addis-Abeba et de renverser Abiy Ahmed

Oromo Liberation confirme son intention de prendre le contrôle d'Addis-Abeba et de renverser Abiy Ahmed

Un groupe armé éthiopien a annoncé qu’il pouvait s’emparer de la capitale, Addis-Abeba, en quelques mois, voire quelques semaines, Oda Tribe, porte-parole de l’Armée de libération oromo, qui a annoncé avoir rejoint le rebelle « Front de libération du Tigré » dans sa progression du nord du pays vers le sud, a confirmé mercredi dans un entretien à l’Agence France-Presse que la les forces rebelles avaient gagné du terrain dans les régions d’Amhara et d’Oromia (qui entoure la région) à Addis-Abeba), soulignant que le renversement du gouvernement du Premier ministre Abiy Ahmed est « inévitable », il a poursuivi en parlant de l’avancée des rebelles sur Addis-Abeba : « Si les choses continuent à évoluer selon la trajectoire actuelle, nous parlons d’une question de mois, voire de semaines.

Ces déclarations font suite à la proclamation de l’état d’urgence par Abi Ahmed dans toute l’Éthiopie, sur fond d’avancée des forces rebelles venues du nord, de son côté, le Premier ministre éthiopien, Abi Ahmed, a déclaré que les ennemis de son pays tentent de lui imposer un scénario similaire à celui vécu par la Syrie et la Libye, Abiy Ahmed a déclaré dans un communiqué publié mercredi, à l’occasion du premier anniversaire de l’attaque que le gouvernement éthiopien avait annoncé que les forces du « Front populaire de libération du Tigré » avaient été lancées sur des sites militaires dans le nord du pays en novembre de l’année dernière. : « Personne n’a pratiqué autant de brutalité contre l’Éthiopie, qui a été pratiquée par cette organisation terroriste », le Premier ministre a déclaré que les forces gouvernementales, lors de la campagne militaire lancée après ces attaques dans la région du nord du Tigré, ont pu arrêter la plupart des dirigeants du « Front populaire » et les traduire en justice, saluant l’engagement des forces gouvernementales au principe de « l’état de droit et de non-représailles ».

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