Politique

La date des prochaines élections générales au Kenya est fixée

La Commission électorale indépendante du Kenya a publié une déclaration annonçant que le 09 août 2022 sera la date des prochaines élections présidentielles, parlementaires et locales, le chef de la Commission électorale, Avula Chibukati, a déclaré que l’annonce de la date des élections signifiait que la commission commencerait immédiatement à surveiller la mise en œuvre du programme électoral par les partis politiques, l’entrée en vigueur de l’agenda électoral oblige la Commission électorale à mettre en œuvre un code de bonne conduite électorale qui empêche l’État ou tout autre parti participant aux élections d’utiliser les services de sécurité, y compris la police et l’armée, pour servir leurs intérêts.

Le Code autorise la Commission électorale à émettre une ordonnance pour enquêter sur les violations du Code par la Direction des enquêtes criminelles, le code stipule également de réglementer les activités des candidats, du gouvernement et des partis politiques pendant le processus électoral, en interdisant en particulier les discours de haine et en répartissant les bénéfices de tous les partis à partir des médias publics, la Commission électorale mettra également en œuvre la loi de 2016 sur les violations des élections, qui interdit l’emploi de services de sécurité publique au profit de tout parti politique pendant les élections.

Les prochaines élections présidentielles verront une compétition entre le vice-président William Ruto, le chef de l’opposition Raila Odinga et un certain nombre d’autres politiciens.

Le calendrier électoral déterminera les étapes des nominations au niveau des partis politiques, et l’enregistrement des candidats pour les élections générales de 2022, le parti de Roto, l’Alliance démocratique unie, avait auparavant envoyé une lettre au président Uhuru Kenyatta, avec des copies envoyées à plusieurs organisations internationales, dont l’Union africaine et la Cour pénale internationale, dénonçant l’utilisation des services de sécurité contre lui, pour sa part, le CID a accusé plusieurs politiciens de se livrer à des discours de haine, plus récemment le sénateur Mythica Lenturi, qui a déclaré que l’Alliance démocratique unie se méfierait des « étrangers » lors des prochaines élections.

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