Politique

Le ministère éthiopien des Affaires étrangères accuse l’Égypte et le Soudan de soutenir le Front du Tigré

Le ministère éthiopien des Affaires étrangères accuse l'Égypte et le Soudan de soutenir le Front du Tigré

Le ministère éthiopien des Affaires étrangères a accusé l’Egypte et le Soudan de soutenir le Front de libération du Tigré, en conflit avec le gouvernement éthiopien depuis plus d’un an, cela est ressorti des déclarations faites par notre Mufti, le porte-parole officiel du ministère éthiopien des Affaires étrangères, le responsable éthiopien a déclaré que son pays parviendrait à une solution avec le Soudan à cet égard lorsqu’il y aurait un gouvernement stable à Khartoum.

Depuis plus d’un an, l’Éthiopie est témoin d’une guerre sanglante entre les forces du gouvernement central d’une part, et les forces du Front de libération du peuple du Tigré et d’autres forces alliées d’autre part, le Tigray Liberation Front accuse le Premier ministre Abiy Ahmed de chercher à changer le système de gouvernement du pays basé sur des alliances tribales, dans le but de contrôler le pays, d’autre part, le Premier ministre accuse le Tigray Front, qui dirige le pays depuis des décennies, de tenter de reprendre le pouvoir, militairement, à la fin de l’année dernière, la guerre a connu une transformation majeure lorsque les forces du Tigré, qui approchaient de la capitale, Addis-Abeba, se sont retirées dans leur région du nord sous la pression d’une offensive militaire soutenue par des drones.

L’armée éthiopienne a déclaré à l’époque qu’elle ne poursuivrait pas davantage les combattants, ce qui ouvrirait la voie à de nouveaux efforts de médiation, mais a ensuite confirmé qu’elle se préparait à la deuxième phase de la guerre, laissant entendre qu’elle pénétrait dans la région.

Les négociations sur le barrage de la Renaissance ont achoppé l’année dernière, avec l’échec des trois pays [Éthiopie, Égypte et Soudan] à parvenir à un accord sur le remplissage et l’exploitation du barrage avant que l’Éthiopie n’entame unilatéralement le deuxième remplissage du barrage, ce qui a entraîné une augmentation de tension politique entre les trois pays Escalade du dossier au Conseil de sécurité qui a tenu deux sessions sur le sujet sans prendre de décision à ce sujet.

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