La Mauritanie et le Mali ont convenu « d’organiser des patrouilles conjointes le long de la bande frontalière » entre les deux pays, et « d’établir un cadre conjoint de concertation, de collecte et d’échange d’informations afin de prévenir efficacement de tels événements », des sources locales parlent du meurtre de 31 citoyens mauritaniens aux mains de l’armée malienne, qui n’a été confirmé par aucune source officielle à ce jour, mais le ministère mauritanien des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur du Mali à Nouakchott et l’a informé d’une protester contre les incidents répétés dont les Mauritaniens ont été victimes au Mali, et a déclaré que « Des forces financières régulières se tiennent derrière.
Une déclaration commune, à l’issue d’une série de rencontres qui ont eu lieu à Nouakchott, entre une délégation malienne conduite par le ministre des Affaires étrangères Abdallah Diop, et une délégation mauritanienne conduite par le ministre de la Défense Hanna Ould Sidi, précise que les deux parties ont également décidé à « former une mission d’enquête conjointe, visant à faire la lumière sur les événements récents à Al-Atai, commencera ses travaux dès que possible », il a également été décidé de « partager dans les meilleurs délais les résultats de l’enquête menée par le Gouvernement de la République du Mali concernant les événements du 17 janvier 2022 à Accor ».
Dans leur communiqué conjoint, les parties mauritanienne et malienne ont affirmé que « les auteurs de ces crimes odieux seront punis, conformément à ce que permet la législation financière ».
La Mauritanie et le Mali décident d’organiser des patrouilles conjointes et d’échanger des informations
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