Politique

L’ancien parti au pouvoir en Guinée pose les conditions de sa participation au dialogue

L'ancien parti au pouvoir en Guinée pose les conditions de sa participation au dialogue

L' »Assemblée du peuple guinéen » (l’ancien parti au pouvoir) et ses alliés ont posé un certain nombre de conditions pour participer au dialogue politique initié par le gouvernement et qui doit débuter lundi prochain, ce dialogue devait commencer vendredi, avant qu’il ne soit décidé de le reporter à lundi prochain, au dernier moment, en raison de son boycott par plusieurs partis politiques, qui ont condamné sa structure et soulevé de multiples problèmes, le parti de l’ancien président Alpha Condé, évincé du pouvoir le 5 septembre, a exprimé de « sérieuses réserves », avant de revenir sur ses conditions, à savoir la « libération sans condition » des cadres de « l’Assemblée du peuple guinéen » détenus depuis début avril dernier. sur des accusations de corruption qui n’ont pas été prouvées par le tribunal des violations anti-économiques et financières après.

Le Premier ministre du dernier gouvernement renversé par la junte militaire, Ibrahima Kasuri Fofana, et les ministres Mohad Diani, Uye Guilavogui, Albert Damatang Camara, Ibrahima Camara, l’ancien président de l’Assemblée nationale Amadou Damaru Camara, et plusieurs anciens directeurs généraux sont en prison pour blanchiment d’argent et détournement de fonds, publicité et corruption, démenti par un groupe d’avocats qui dénoncent ce qu’ils considèrent comme une campagne à motivation politique, soulignant l’absence de preuves à l’appui de ces accusations, l’Assemblée du peuple guinéen exige également la fin de la persécution et de l’arrestation des acteurs de la classe politique et de la société civile de tous horizons, et de toute menace à leur encontre pendant la période de transition.

Le chef de file de l’Union des forces démocratiques de Guinée, l’ancien Premier ministre Mamadou Selo Dalin Diallo, absent du pays depuis plus de deux mois, fait face à une menace d’emprisonnement qui guette la Cour des infractions anti-économiques et financières, qui accuse lui d’être impliqué dans la corruption autour de la vente d’un avion Boeing.Pour la Compagnie guinéenne des transports aériens (Air Guinée), alors qu’il était ministre des Communications dans la première décennie de ce siècle.

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