Puisque l’Algérie n’a été, au cours de l’histoire humaine, qu’une simple Wilaya appartenant à l’État colonial, des Phéniciens aux Français, il y a alors un grand handicap parmi les Algériens qui les a poussés à rechercher des héroïsmes imaginaires, c’est pourquoi, aujourd’hui, tous ceux qui suivent les mouvements et les positions du chef d’état-major de l’armée algérienne, le général Chengriha, peuvent dire que celui ci et ses adjoints des services de sécurité ou des médias ne cessent de déployer des efforts acharnés pour le glorifier et créer une aura d’héroïsme, parfois avec des manœuvres militaires ratées, sur lesquelles des millions de dollars sont dépensés, qui sont les prix des munitions, et payé par un pays souffrant d’une crise économique suffocante, et d’autres fois en mentant avec de faux héroïsmes imaginaires auxquels même les enfants ne croient pas.
À partir de ce moment où il a assassiné son ami et bienfaiteur, le général GaÏd Salah, Chengriha a pris les devants pour réaliser son rêve d’obtenir le siège du pouvoir en Algérie, alors il a lancé les langues médiatiques affiliées à ses services de sécurité en piégeant la sphère publique et incitent contre les manifestants de la liberté, et a exigé l’arrestation de tous les opposants à sa politique, alors ces langues l’ont commercialisé comme le leader loyal et unique qui est capable de protéger l’Algérie et de la sortir des conditions sécuritaires et économiques difficiles et de combattre les ennemis aux frontières de la Libye, du Mali et du Maroc, et après s’être débarrassé de tous ses concurrents des généraux et avoir obtenu ce qu’il voulait, il a directement transformé l’Algérie en une Ferme personnelle.
Ce qui prévient que la prochaine étape est la pire de toute son histoire, alors que les services de sécurité et militaires affrontaient tous ceux qui s’opposaient à lui et les tuant moralement ou physiquement, et que la main de ses milices était libérée pour contrôler toutes les articulations politiques, administratives et économiques de l’État, alors Chengriha et ses fils sont devenus des partenaires forcés dans tous les projets économiques, et les services de sécurité se sont emparés de toute la vie politique, et le peuple algérien s’est transformé en des simples esclaves pour Chengriha, ils ont été esclaves de Boumediene, puis du général Ammari, puis du général Toufik et enfin de Gaïd Salah, en effet, les esclaves sont hérités par les maîtres.
