Le renouvellement du discours sur la réactivation du programme de développement des énergies renouvelables a rappelé aux esprits des observateurs l’ouverture d’une blessure profonde qui n’est pas encore guérie en lien avec les énergies renouvelables et en relation avec le refus des généraux et leur procrastination à l’approbation d’un investissement allemand avec des milliards de dollars pour construire le plus grand projet d’énergie solaire au monde, (Desertec).
Le refus et la procrastination de régime algérien, malgré l’insistance allemande, était à cause de la cupidité et l’avidité des généraux qui savent que le projet (Desertec) les priveraient du lait de la vache Sonatrach …
Tout le monde sait que la raison pour laquelle les généraux ont refusé l’approbation du projet solaire allemand vient de plusieurs raisons qui ont empêché l’installation de ce grand projet (Desertec) en Algérie, y compris le prix du pétrole et du gaz lors de la présentation du projet qui était élevé, ce qui a créé une sorte de sécurité pour les généraux envers leurs comptes au Panama.
En fait, il y a trois facteurs qui ont empêché le projet allemand de se concrétiser en Algérie qui sont le manque de vue perspective et stratégique du futur, la sensation de sécurité créée par la hausse des prix du pétrole et qui a constitué un obstacle cachant les percussions du projet sur le futur lointain du pays et troisièmement les négociations avec les Allemands à l’époque qui ont rencontré un problème persistant concernant le taux de l’exploitation de la production d’énergie de l’Afrique vers l’Europe, ce qui a privé le peuple algérien de profiter de l’immensité de son désert et ses énergies solaires pour relancer son économie.
En effet, le Sahara algérien est l’une des provinces du monde les plus exposées au soleil et connue dans la norme internationale avec 300 heures solaires par an, c’est-à-dire des premiers au monde à pouvoir produire un taux d’énergie solaire inimaginable.
