Politique

10 morts dans une attaque armée contre un convoi de ravitaillement dans le nord du Burkina Faso

10 morts dans une attaque armée contre un convoi de ravitaillement dans le nord du Burkina Faso

Au moins 10 personnes, pour la plupart des militaires, ont été tuées dans une attaque armée dans une ville du district de Som dans la région du Sahel, au nord du Burkina Faso, selon des sources sécuritaires dans le pays, selon un communiqué de l’armée, l’attaque a eu lieu contre un « convoi de ravitaillement pour la population, escorté par une unité du 14e régiment », et il a été attaqué lundi « alors qu’il se dirigeait vers Djibo près de Gaskende » dans le nord.

Et l’Agence de presse française a cité une source disant que l’attaque avait fait « plusieurs victimes » et que le bilan officiel total serait annoncé ultérieurement. Le Burkina Faso subit les attaques des groupes armés depuis 2015, qui ont fait des milliers de morts et près de deux millions de déplacés.Selon les chiffres officiels, plus de 40% du pays n’est pas contrôlé par l’État, sur le plan politique, la ministre burkinabé des Affaires étrangères, Olivia Ruamba, a salué l’acceptation par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, des « priorités de la transition politique du pays et son engagement à soutenir les autorités burkinabé sur les plans sécuritaire, humanitaire et alimentaire ».

Commentant la réception par Guterres du président de transition du Burkina Faso, le colonel Paul-Henry Sandaogo Damiba, Olivia Rwamba a déclaré que le secrétaire général de l’ONU avait lancé un processus qui permettrait au pays de « bénéficier, de manière fondamentale, du soutien de la Les Nations Unies », le chef de la diplomatie burkinabé a ajouté que les deux parties ont discuté « de la voie de transition et de l’avancement des questions prioritaires dans la période actuelle, en plus d’une demande d’accompagnement des Nations unies », Guterres avait reçu Damiba samedi dernier en marge de la 77e session de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, et la présidence burkinabé a déclaré que les deux parties avaient échangé des vues « sur les questions sécuritaires et humanitaires dans le pays et dans la région du Sahel ».

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