La crise actuelle a été soulevée entre le groupe militaire privé Wagner et le gouvernement russe, qui s’est soldée par une solution stipulant le retrait des forces du groupe du territoire russe, à la lumière des discussions sur la concentration de ses activités en Afrique. Des questions sur les directions du conflit international actuel sur le continent brun, et les mécanismes et outils de chacune des quatre parties en conflit, à savoir la Russie, la Chine, l’Amérique et l’Europe.
Il est probable que les changements actuels dans les relations entre le gouvernement russe et le groupe « Wagner » consolideront la stratégie des États-Unis et des pays européens, menés par la France, visant à rétablir leurs relations de sécurité avec les pays africains, mais selon une nouvelle approche qui leur garantit une présence plus efficace avec moins d’individus, la France devrait également maintenir son influence à travers un mécanisme européen commun. Comme les rapports l’indiquent, des pourparlers intensifs entre Paris, Londres et d’autres capitales européennes, afin de développer un mécanisme conjoint par lequel la France mettra en œuvre davantage de tâches et d’autorités de sécurité en Afrique de l’Ouest, à cet égard, Moaz Abu Bakr, professeur d’études médiatiques et stratégiques dans les universités nigérianes, estime que « la sécurité et les ressources sont les deux éléments les plus influents des interventions extérieures sur le continent africain ».
Cependant, il pointe « un élément de pression important, qui se traduit par la tendance croissante à rejeter ces interventions, notamment chez les jeunes ».
