L’affaire de la cargaison du blé empoisonné qui est arrivé en Algérie en provenance de l’État de Lituanie fait toujours l’objet d’une enquête de haut niveau. En effet, le dossier a retourné sous les projecteurs en mettant la lumière sur la stratégie du pays en matière d’importation, comme l’a révélé Le Directeur général du contrôle économique et de la répression des fraudes au ministère du Commerce, Louhaidia Mohamed, sur ce que les agents de contrôle ont trouvé à l’intérieur de la cargaison importée de blé empoisonné, où le même porte-parole a déclaré que les substances trouvées dans le blé sont des résidus de pesticides dangereux pour la santé humaine et que l’affaire fait l’objet d’une enquête au niveau des autorités judiciaires …
Notre site a obtenu de ses propres sources de nouveaux détails et passionnants dans l’affaire de ce que l’on appelle désormais le scandale de «l’empoisonnement des Algériens» par le blé importé de Lituanie, qui occupe toujours l’opinion publique nationale, où nos sources disent que ce qui s’est passé au niveau du port de la capitale lors du processus de déchargement de la cargaison estimée à 31 mille tonnes venant de Lituanie, c’est que le comité paritaire chargé du suivi au niveau portuaire et composé d’experts des services des ministères de l’agriculture et du commerce, ainsi que du bureau professionnel des céréales et des douanes a décidé d’effectuer un suivi à l’œil nu uniquement afin d’accélérer le processus de déchargement et d’éviter la durée du séjour du navire à quai en attendant les résultats des analyses de laboratoire cependant, après le déchargement de10 mille tonnes, les analyses de laboratoire ont montré la présence de substances toxiques trouvée dans le produit de blé tendre destiné à la consommation, et que la cargaison était mélangé avec de grandes quantités de blé rouge, qui est utilisé comme semences et qui sont impropres à la consommation, car les produits chimiques avec lesquelles sont traités ces graines posent un grand danger pour la santé humaine et donc pour le citoyen.
On était donc contraint d’arrêter le vidage de la cargaison et de clore le dossier car l’entreprise importatrice de blé avait une relation directe avec l’un des fils des généraux régnant en Algérie.
