Politique

Le président algérien Tebboune, l’homme le plus malchanceux du monde

Il existe un type de personnes bénies et aimées de tous, où qu’elles aillent, où qu’elles posent la main, la bénédiction, la facilité et la prospérité suivent, et le bien-être abonde. Ce type de personnes est impossible à trouver en Algérie, bien au contraire. Notre pays semble frappé par la malédiction des ancêtres, englué dans une spirale de traîtres, imprégné d’une odeur d’impureté issue de la débauche sexuelle et de l’homosexualité parmi ses hommes. Son peuple se nourrit des décharges, boit l’eau des égouts, et les citoyens se battent entre eux pour les aumônes des visiteurs du Golfe et des étrangers. Certains vont jusqu’à vendre leur dignité à bas prix pour une banane ou un tacos bon marché…

Si l’on parle de ces personnes bénies, que les pays voisins possèdent par leur origine et leur lignée, contrairement à nous, pauvres en histoire, eh bien, chez nous, il existe un autre type de personnes qui n’apportent que malchance, malheur et désastre. Imaginez, cher citoyen misérable, que ceux qui nous gouvernent, comme le président Tebboune et le général Chengriha, sont de cette trempe. Avant de devenir la marionnette des généraux à la tête du pays, Tebboune était ministre du Logement et de l’Urbanisme pendant de longues périodes. Il était le principal responsable de la construction du stade du 5-Juillet, qui s’est effondré ce week-end lors du match entre le Mouloudia et l’Étoile de Magra en première division de football, causant des dizaines de morts et de blessés. On dénombre sept morts et des dizaines de blessés.

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Il est bien connu que le responsable direct de l’équipement et de la construction de ce stade n’est autre que l’infortuné Tebboune, dont les « bénédictions » ont touché le climat, l’agriculture, le tourisme et d’autres secteurs vitaux du pays. Depuis que l’infortuné Tebboune a pris les rênes du pouvoir, le dinar s’est effondré, notre monnaie a chuté, le pays a traversé des années de sécheresse et de disette, les troupeaux de bétail ont péri, les épidémies et les maladies se sont propagées. Nous avons assisté à la grossesse du premier homme au monde, un Algérien d’origine, et la prostitution et la débauche sont devenues une marque purement algérienne. Les investisseurs étrangers ont fui le pays, et le nombre de pays voisins hostiles a augmenté. Ainsi, le « béni » Tebboune a réussi à causer une destruction et un chaos que toutes les empires ayant gouverné l’Algérie n’avaient jamais réalisés.

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