Aujourd’hui, l’Éthiopie a accusé l’Égypte et le Soudan d’entraver les négociations du «barrage de la Renaissance» et a répondu aux informations selon lesquelles une guerre sur le Nil était imminente.
Dans des déclarations, le ministre éthiopien de l’Irrigation, Celchy Bekele, a déclaré que « la prédiction du déclenchement d’une guerre sur les eaux du Nil est fausse », soulignant que c’est « un facteur de renforcement et de développement du Nil Pays du bassin ».
Bekele a ajouté qu ‘ »après qu’un consensus a été atteint avec l’Egypte sur les propositions des experts de l’Union africaine, le Soudan s’est retiré », soulignant également que lorsqu’un accord a été conclu avec le Soudan sur les propositions des experts de l’Union africaine, l’Egypte s’est retirée.
Il est à noter que le ministère égyptien des Affaires étrangères a annoncé que la réunion à six tenue le 10 janvier pour discuter de la crise du barrage de la Renaissance n’a permis aucun progrès, tandis que le Soudan a déclaré qu ‘«il n’est pas possible de poursuivre ce qu’il a décrit comme un» cercle vicieux «des pourparlers circulaires à Il n’y a pas de fin au vu de la menace posée par le barrage de la Renaissance».
Le gouvernement soudanais a également mis en garde contre le deuxième remplissage du «barrage de la Renaissance» éthiopien avant de parvenir à un accord avec l’Égypte et l’Éthiopie. Elle a souligné que << le Soudan n’accepte pas d’imposer une politique de facto et de menacer la sécurité de 20 millions de citoyens soudanais dont la vie dépend du Nil bleu >>, soulignant << la position de principe du Soudan sur la nécessité de parvenir à un accord juridique contraignant sur le remplissage et l’exploitation du Renaissance Dam qui préserve et prend en compte les intérêts des trois parties ».