La jeunesse algérienne considère que les pilules hallucinogènes fabriquées localement sont le choix parfait qui leur garantira un sentiment d’euphorie et de séparation de la réalité amère de l’Algérie sans tomber dans le piège de la toxicomanie, sans se rendre compte que ces pilules sont l’un des types les plus dangereux de drogues et qui sont responsables de la toxicomanie.
En effet, ces drogues hallucinogènes provoquent des changements dans le cerveau et les hormones des jeunes, ainsi que dans les nerfs, et que leur consommation fréquente entraîne des dommages dans le système nerveux et perturbe complètement le travail du cerveau, il suffit que la jeunesse algérienne sache qu’une drogue hallucinogène est capable de faire passer l’état de son usager du conscient à l’inconscient, en lui faisant ressentir un plaisir imaginaire ou en l’empêchant de distinguer le lieu, le temps, et peut-être ce qui le rend vulnérable à commettre les crimes les plus horribles sans s’en apercevoir, et lorsque l’effet de ces drogues prend fin, il découvre l’étendue des désastres qu’il a commis, de ce fait, le quartier de Benaïchouba Kaddour, dans la commune de Mouzaia, dans la Wilaya de Blida, a été secoué hier soir par un meurtre horrible d’un homme âgé de 78 ans qui a été tué avec un grand couteau par son plus jeune fils lors d’une querelle de famille, où les voisins disent que le fils prend des pilules hallucinogènes, qui sont les moins chères en Algérie parce qu’elles sont fabriquées localement dans des laboratoires appartenant à l’armée algérienne.
